Les pathogènes
Virose
Classification
Virus "vrais"
> 1500 nucléotides
ADN ou ARN, mono ou bicaténaire
Présence ou non d'un enveloppe lipoprotéique
Symétrie hélicoïdale ou icosaédrique
Viroïdes
Petite taille (250 à 450 nucléotides)
ARN monocaténaire circulaire
Dépourvu de capside
Virus satelites
200 à 1400 nucléotides
Parasites moléculaires d'autres virus
Processus d'infection
1. Infection passive de l'hôte
2. Décapsidation
3. Traduction de l'ARN
4. Multiplication
Diffusion dans la plante
Symptomatologie
Panachure
Absence de piments
Jaunissement aux nervures
Virus à mosaïque
Nécrose
Souvent à la suite des panachures
Déformation
Nanisme
Détection
Techniques sérologiques
Agglutination
Test ELISA
Techniques moléculaires
PCR
Méthodes de lutte
Les dites curatives
Culture méristème
Thermothérapie
Chimiothérapie
Prophylaxie et quarantaine
Isolement
Elimination des plantes infectées
Technique de prémunition
Dissémination
Vecteurs aériens
Pucerons
Virus non-persistants
Virus semi-persistants
Virus persistants
Vecteurs dans le sol
Pollen et graines
Multiplication végétatives
Par contact
Bactériose
Transmission
Verticale
Rare, essentiellement par multiplication végétative
Horizontale
Importante
Mécanique, blessures, greffes, champignons, animaux
Classification
Proteobactéries
Alpha
Agrobacterium
Rhizobium
Beta
Burkholderia
Ralstonia solanacearum
Gamma
Erwinia
Pseudomonas
Xanthomonas
Epsilon
Gram + c+g>50%
Rhodococcus
Corynebacterium
Streptomyces
Gram + c+g<50%
Mollicutes
Fastidious vascular bacteria FVB
Méthodes de lutte
Mesures prophylaptiques
Désinfection
Traitement curatif
Végétaux parasites
Classification
Niveau d'hétérotrophie
hémiparasites et holoparasites
Type de fixation sur l'hôte
épiphytes et épirhizes
Exemples
Les cuscutes
Holoparasites épiphytes
Sur grandes cultures et plantes maraichères
Plantes grimpantes
Le striga
Holoparasite épirhize
En Afrique sur sorgho, mil et maïs
Les orobanches
holoparasite épirhize
Entraîne des retard de croissance
Bassin méditerranéen
Détourne l'eau, les minéraux et les substances nutritives
Le gui
Hémiparasite épiphytes
Prélève une partie de la sève de l'hôte
Sur pommier et peuplier
Plasmodesme
ARN polymérase + ribosomes
Protéines
Relation hôte-pathogènes
I. Fixation et pénétration du pathogène dans l'hôte
Les barrières mécaniques et physiques
Parties aériennes
Cuticule
Barrière mécanique = épaisseur
Cire hydrophobe = barrière chimique
Lieux de passage
Stomates
Hydotodes
Parties souterraines
Poils absorbants
Blessures par nématodes
Influence de la sécrétion d'exsudats
Stratégies de pénétration
Bactérie = comportement passif
Par des ouvertures naturelles
Champignons = rôle actif
1. Conditions de germination et de température
2. Tube germinatif forme un appressorium
3. Pénétration
Mécanisme physique
Pression des hyphes (7 atm)
Mécanismes enzymatiques
Les enzymes pectolytiques
les enzymes cellulolytiques
les enzymes dégradant l'hémicellulose
II. Réactions de l'hôte suite à l'infection (cf cours Rusterrucci)
Relations compatibles et incompatibles
Les défenses
Passives
Dépôt de callose
Lignification
Protéines HRPG
Actives
Phytoalexines
Ethylene
Pr protéines
III. Les mécanismes de défense
Résistance spécifique induite
Théorie gène pour gène
Résistance locale acquise
Résistance systémique acquise
Résistance systémique induite
Gene silencing
Eliciteurs
Abiotiques
ex : métaux lourds
Biotiques
Non spécifiques
ex : béta-glucanes
Spécifiques