modèles comportementaux exogène

modélisation des émotions morales dans la théorie économique

idée principale

préférences intrinsèques à l'homme

indépendantes de tout modèle explicite

fondements

fonction d'utilité des agents

intégration des émotions morales comme préférences exogènes

préférence des agents

le goût de donner

la gratitude

valence positive

caratère agréable

aversion a l'iniquité

colère/haine/
honte/culpabilité etc...

valence négative

caractère désagrèable

maximisation des choix
en fonction :

bien être du consommateur

goût / préférence

limite

Aucune interactions sociales entre individus

Les fondements émotionnels de ces individus sont ils précisé?

Dans quel contexte ressentent t-ils ces émotions ?

Modèle qui ne prend en compte uniquement la valence des émotions

caractère
agréable

caractère désagrèable

modèles comportementaux endogène

l’individualisme méthodologique

1/ phénomène sociaux

agrégation d'actions individuelles

2/compréhension de ses actions individuelles

les raisons qui déterminent ses actions

dans un contexte donné

les phénomènes collectifs
sont engendrés par un ensemble:

action

croyance

attitude

l’endogénéisation des émotions morales

attente des joueurs

norme social implicite

norme social implicite / explicite

intention

bonne

réciprocité positive

maveillante

réciprocité négative

anticipation

attente

ce que l'autre attend de ma décision

personnalité

perception différente de la norme du
comportement adapté

ultimatum

résultat en laboratoire

en générale / moyenne

individuelles

idée principal

OFFREUR ( joueur 1)

offre: x = 1€

9€, 1€

acceptation

cadre rationnel / rationnel

hypothèse thorique

RÉPONDANT ( joueur 2 )

cas 1

cas 2

introduction du role de l'intention / croyance

hypothèse selon laquelle le joueur 2 à l'intention d'être bienveillant

anticipation de 1 sur 2

2 coopératif

sentiment endogène de sympathie éprouvé par 1 pour 2

OFFREUR ( joueur 1)

RÉPONDANT ( joueur 2 )

5€, 5€

offre: x = 5€

acceptation

cadre rationnel/rationnel
avec intégration d'émotion

hypothèse réaliste

par réfléxivité

2 porte un jugement morale sur ses propres actions

moralement couteux de faire défection

offreur

40% de la somme distribué
soit 4€

offre la plus donné

5€

répondants

rejet des offre ≤ à 20%
soit 2€

motivation de offreur

stratégique

donne plus

limite le rique de rejet

altruiste

explique le % élevé
offre équitable

intuition morale

réflexion morale

motivation du répondant

comportement rationnel et irrationnel / incompréhension des économistes

arbitrage/ rééquilibre

raison

si raissonable / rationnel

acceptation de l'offre aussi
minime quelle soit

émotion

influence des émotions

indignation d'une offre inéquitable

colère,mépris,tristesse

déception

arbitrage

comportement prosocial

égoiste

culpabilité
défection

Sujet flottant

Sujet flottant

Sujet secondaire

théorème
d’impossibilité d’arrow

interdit d’adopter une approche normative en économie.

cherche à déterminer ce qui devrait
être

théorie non welfarisme

pas du champ disciplinaire des économistes

pourquoi rawls ne peut pas etre considéré ni comme l'initiateur du renouveau de l'économie normative ni comme celui de l'approche non welfariste ?

quel est sont rôle dans ces deux changement majeur ?

économie normative

de la fin du xix e siècle au début des années 1970

économie normative = économie du bien-être

aujourd'hui le welfarisme

rawls n’a été à l’origine, à proprement parler, ni du renouveau de
l’économie normative, ni de la naissance de l’approche non welfariste en
économie.

le théorème d’impossibilité d’arrow

pas de fonction d’utilité
sociale permettant de passer des préférences individuelles à une préférence
sociale.

théorème qui prouve qu'aucune procédure de choix collectif peut aboutir

ainsi la recherche d’un optimum
social intégrant les exigences éthiques semblant les moins discutables était
une impasse théorique

conclusion : il n'existe pas de fonction d'utilité social

intervention de kolm et Sen

la fonction d'utilité social d'Arrow n'a pas le même sens que celle initialement porté par bergson

selon bergson : lle est « simplement
une fonction de bien-être correspondant à un pré ordre social

tandis que Arrow : une méthode permettant de passer des pré ordres
individuels à un pré ordre social

condition suffisante à l'optimum mais pas nécessaire !

on peut en effet admettre la possibilité d’une
fonction d’utilité sociale représentant le préordre social même s’il n’existe pas
de méthode satisfaisante de passer des préordres individuels à un préordre
social

autrement dit, la démonstration d’Arrow ne prouve ni
1) l’impossibilité de la fonction d’utilité sociale telle que la conçoit Bergson,
ni 2) l’impossibilité de déterminer l’optimum social

si, en revanche, les deux
termes sont distincts et que a implique B, alors le fait de nier a ne permet
pas de nier B. Formellement, on ne peut déduire de la seule proposition « a
implique B » l’autre proposition selon laquelle « non-a implique non-B »

on obtient
que le fait d’accepter la proposition « l’existence d’une fonction d’utilité
sociale au sens d’arrow implique (puisque c’est une condition suffisante) la
détermination d’un optimum social » n’implique pas cette autre proposition
selon laquelle « l’inexistence d’une fonction d’utilité sociale au sens d’arrow
implique l’impossibilité de déterminer un optimum social ». page 45

introduire shéma page 46

rawls après ces rappel historique est loin d'avoir etait l'initiateur de ces débats. page 47

rawls et l'approche non welfariste

rawls a t-il réellement
été à l’origine de l’approche non welfariste en économie normative ?

démarche de cette interrogation

possibilité que la démarche de
l’économiste soit profondément remise en cause de l’extérieur.

exigence de la liberté individuelle chez rawls

si le respect de la
liberté individuelle conduit à une augmentation des bien-être individuels et
social, alors le welfarisme défendra (et même imposera, au besoin) le respect
de cette liberté. mais s’il s’avère, au contraire, que le respect de la liberté
individuelle induit une diminution de bien-être collectif, le welfarisme
préconisera qu’on ne la respecte pas.

version de l'ancienne économie 1ere variante du welfarisme rawls est contre

mais

l ne suffisait pas de relever les insuffisances éthiques, déjà bien
connues, dont pouvait souffrir une approche utilitariste, ni de développer
une théorie philosophique de la justice. il était en outre nécessaire de montrer
comment donner un sens positif à ces critiques et à ces propositions dans les
termes de la méthodologie économique – ce que firent sen et Kolm
.

Sen introduit une conception de liberté individuelle suite a de nombreuse reprises de l’impossibilité d’être parétien et libéral,

conditions minimales de
libéralisme

ordre lexicographique

selon l’ordre lexicographique Sen est plutot un auteur de la nouvelle économie du bien être

il est d’ailleurs notable que ce concept d’ordre lexicographique est
introduit par sen au cours d’une discussion de la position adoptée par rawls et que les écrits de rawls antérieurs à la Théorie de la justice ne se référaient
pas à un ordre lexicographique, mais uniquement au critère de maximin

bien etre non mesurable

Kolm volonté d’intégrer la question de la justice sociale dans les modèles
de recherche de l’optimum social

notion de justice au sein de la réflexion des économistes

critère d'efficacité inssufisant

on ne peut pas pensser justice sans équité

notion d'équité

chaque personne préfère
être dans sa propre situation que dans celle d’aucune autre

concept de justice pratique

un
maximin lexicographique de kolm

bonheurs croissants

bonheur mesurable

vision de Rawls

Rawls critique la philosophie utilitariste, qui repose sur l’idée que la société juste est celle qui maximise la somme des utilités de ses membres. En d’autres termes, qu’importe la répartition du bonheur, ce qui compte c’est le nombre total d’ « unités de bonheur » dans la société. Rawls critique cette approche : pour lui, la société doit s’occuper de maximiser l’utilité des plus désavantagés. souce sur discord

dérivé de cet utilitarisme, le welfarisme est alors la doctrine qui affirme
qu’« en définitive, le caractère souhaitable (goodness) d’un état du monde
dépend de l’ensemble des utilités individuelles de cet état, et – plus
précisément (more demandingly) – peut être vu comme une fonction croissante
de cet ensemble » [sen, 1979, p. 464]. autrement dit, le welfarisme défend
l’idée que 1) l’utilité épuise l’ensemble de l’information économiquement
pertinente ; 2) « plus d’utilité » signifie « mieux ».

c’est donc sen et Kolm qui ont mis en évidence la possibilité concrète
d’intégrer l’aversion pour l’inégalité dans la modélisation économique en y
introduisant le concept (terme qu’il faut en l’occurrence comprendre comme
un « outil de modélisation ») d’ordre lexicographique. ces deux auteurs ont
ainsi ouvert la voie à une alternative au welfarisme que l’on a, par la suite,
qualifiée de « non welfariste ».

l'auteur refuse l’idée
qu’il ait été, à lui seul, l’artisan du renouveau de l’économie normative ou de
la naissance de l’approche non welfariste dans ce champ de recherche

construction d'un indice des bien premiers

débat rawls et des économiste

ce ne sont pas les travaux de rawls qui ont conduit à la naissance
de l’approche non welfariste en économie, mais que c’est, au contraire, la
naissance de cette approche qui a amené les économistes à s’intéresser aux
travaux de rawls.

page 54-55 critique du welfarisme par rapport au théorie non welfariste

1) Selon vous qui sont les précurseurs de l'économie normative ?

ancienne économie

efficacité productive et distribution du revenu

nouvelle économie

partage du bien être / justice social

sen

kolm

Rawls

question connexe

Ordre lexicographique

Rawls

indice de biens premiers

naturel

social

impossibilité de rejeter le caractère incommensurable

Fleurbaey démonstration de la possibilité d'un indice de biens premiers

préordre social éthique

équité

justice social

2) Quel est le rôle de Rawls dans l'approche non welfariste ?

philosophie/économie

sen

kolm

Naissance de l'approche non-welfarisme

Rawls, une coordination entre philosophie et économie