によって Laurent Bien-être 7か月前.
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En langage girafe, personne ne juge moralement mais tout le monde cherche à savoir si les actes et les paroles des uns et des autres servent la vie et la rendent plus belle.
Communiquer en langage girafe implique de trouver le besoin non satisfait qui se cache derrière le jugement car les besoins sont la vie qui cherche une expression !
Un exemple typique de langage chacal : “TU me mets en colère quand TU dis ça”.
Dans un monde chacal, les sentiments sont utilisés pour manipuler et provoquer la culpabilité. Une façon typique de manipuler est de convaincre l’interlocuteur que c’est lui qui rend malheureux et qu’il devrait se sentir coupable pour ça.
Le langage chacal est friand de l’expression “Je pense que tu”. Or cette tournure de phrase signifie que le chacal évalue son interlocuteur, le considère fautif. Il va donc recevoir une défense agressive de l’interlocuteur !
Le langage chacal fait de critiques, manipulations, jugements et définitions diminue les chances d’obtenir ce que l’on veut et augmente la probabilité d’actes violents.
c’est-à-dire en conscience et en reconnaissance de l’existence d’une relation dans laquelle il y a souffrance, tout en laissant les personnes impliquées travailler à la résolution de « leur » conflit dans des conditions équitables.
c’est-à-dire en position d’affirmer un point de vue et d’exprimer ses besoins, en ayant obligation de bien traiter les individus
c’est-à-dire en acceptation de sa fragilisation temporaire mais en capacité de se renforcer en étant acteur de la solution
Apprenez à exprimer vos convictions sans dénigrer les croyances de l’autre, il en fera l’usage qui lui convient.
La manière dont l’autre se comporte est moins importante que le chemin que vous parcourez.
Vous exprimez ce que vous ressentez, vous posez vos mais sans blesser l’autre en utilisant la communication non violente.
Qui êtes-vous pour croire qu’autrui devrait se conformer à vos désirs ? Accepter qu’une demande puisse recevoir un non ou qu’un geste qui part d’une bonne intention soit reçu différemment.
: Si vous menacer (Persécuteur), vous plaignez (Victime) ou promettez (Sauveur), l’autre personne vous fera peut-être plaisir mais finira aussi par vous en vouloir.
Par exemple, je suis malheureux à cause de toi (V). Tu sais que je fais de mon mieux (V) ou Tu sais que je fais tout pour toi, tu n’es jamais content(e) (P)
Par exemple, si tu m’aimais vraiment tu ferais …). Privilégiez l’amour inconditionnel. Agissez pour vivre en conformité avec vos valeurs, votre spiritualité, ou pour seul plaisir celui de faire plaisir .
Si vous donnez en attendant quelque chose en retour, ce n’est pas de l’amour, c’est juste du troc.
L’aide doit permettre à la personne d’aller vers son autonomie
L’aide doit permettre à la personne aidée de faire sa part du chemin (il faudra qu’elle se responsabilise)
Commencer par demander si l’autre souhaite être aidé.
Le sauveteur aidera la victime mais sans vraiment la rendre autonome. Dans son rôle, il sera apprécié, reconnu, voir aimé mais oublie de se sauver lui meme
J’ai le pouvoir de rendre les autres heureux (Sauveteur en recherche d’une Victime)
Le sauveteur vole au secours d’autrui (même quand autrui n’a rien demandé) pour son propre bien (parfois au détriment de celui d’autrui). Quand on endosse le rôle de sauveteur, on cherche à dominer en se rendant indispensable (les autres sont faibles, je dois les aider).
ne peux s'empêcher d'aider
En quoi est-ce important pour vous d’être parfait(e) ? » « La perfection existe-t-elle et à quel prix ? » « Que se passerait-il si vous n’étiez pas parfait(e) ? »
lacher prise
Le persécuteur est prisonnier de son propre contrôle !
J’ai le pouvoir de rendre les autres malheureux (persécuteur en recherche d’une victime)
Le persécuteur fait souffrir autrui pour tenter de canaliser ses propres peurs et douleurs. Quand on endosse le rôle de persécuteur, on tente de s’imposer ouvertement (je dois leur dire comment il faut être et agir car je sais mieux et j’ai raison).
critique, ironise , devalorise
le changement commence par moi
Concrètement, il faudra agir, faire preuve de patience et de persévérance.
le passage de la victimisation à la responsabilisation et à l’autonomie.
La victime ne cherchera pas réellement à sortir de son rôle, car elle reçoit attention, aide ou l’assistance et se sent aimée.
Les autres ont le pouvoir de me rendre malheureux (victime en attente d’un persécuteur)
Les autres ont le pouvoir de me rendre heureux (victime en attente d’un sauveteur)
Quand on endosse le rôle de victime, on cherche à dominer en apitoyant autrui (je suis faible et on doit m’aider).
La victime se sent impuissante et irresponsable et espère que quelqu’un soulagera son malaise interne.
subit, se plaint , s'apitoie