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door Brusse Théo 3 jaren geleden

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Les pathogènes

Les plantes déploient une variété de mécanismes de défense pour se protéger contre les pathogènes. Ces mécanismes incluent des barrières physiques et chimiques, ainsi que des réponses actives et passives.

Les pathogènes

Cours phytopathologie

Eliciteurs

Biotiques

Spécifiques
Non spécifiques
ex : béta-glucanes

Abiotiques

ex : métaux lourds

Relation hôte-pathogènes

III. Les mécanismes de défense

Gene silencing
Résistance systémique induite
Résistance systémique acquise
Résistance locale acquise
Résistance spécifique induite
Théorie gène pour gène

II. Réactions de l'hôte suite à l'infection (cf cours Rusterrucci)

Les défenses
Actives

Pr protéines

Ethylene

Phytoalexines

Passives

Protéines HRPG

Lignification

Dépôt de callose

Relations compatibles et incompatibles

I. Fixation et pénétration du pathogène dans l'hôte

Stratégies de pénétration
Champignons = rôle actif

3. Pénétration

Mécanismes enzymatiques

les enzymes dégradant l'hémicellulose

les enzymes cellulolytiques

Les enzymes pectolytiques

Mécanisme physique

Pression des hyphes (7 atm)

2. Tube germinatif forme un appressorium

1. Conditions de germination et de température

Bactérie = comportement passif

Par des ouvertures naturelles

Les barrières mécaniques et physiques
Parties souterraines

Influence de la sécrétion d'exsudats

Blessures par nématodes

Poils absorbants

Parties aériennes

Lieux de passage

Hydotodes

Stomates

Cuticule

Cire hydrophobe = barrière chimique

Barrière mécanique = épaisseur

Protéines

ARN polymérase + ribosomes

Plasmodesme

Les pathogènes

Végétaux parasites

Exemples
Le gui

Sur pommier et peuplier

Prélève une partie de la sève de l'hôte

Hémiparasite épiphytes

Les orobanches

Détourne l'eau, les minéraux et les substances nutritives

Bassin méditerranéen

Entraîne des retard de croissance

holoparasite épirhize

Le striga

En Afrique sur sorgho, mil et maïs

Holoparasite épirhize

Les cuscutes

Plantes grimpantes

Sur grandes cultures et plantes maraichères

Holoparasites épiphytes

Type de fixation sur l'hôte

épiphytes et épirhizes

Niveau d'hétérotrophie

hémiparasites et holoparasites

Bactériose

Traitement curatif
Désinfection
Mesures prophylaptiques
Gram + c+g<50%

Fastidious vascular bacteria FVB

Mollicutes

Gram + c+g>50%

Streptomyces

Corynebacterium

Rhodococcus

Proteobactéries

Epsilon

Gamma

Xanthomonas

Pseudomonas

Erwinia

Beta

Ralstonia solanacearum

Burkholderia

Alpha

Rhizobium

Agrobacterium

Transmission
Horizontale

Mécanique, blessures, greffes, champignons, animaux

Importante

Verticale

Rare, essentiellement par multiplication végétative

Virose

Dissémination
Par contact
Multiplication végétatives
Pollen et graines
Vecteurs dans le sol
Vecteurs aériens

Pucerons

Virus persistants

Virus semi-persistants

Virus non-persistants

Méthodes de lutte
Technique de prémunition
Prophylaxie et quarantaine

Elimination des plantes infectées

Isolement

Les dites curatives

Chimiothérapie

Thermothérapie

Culture méristème

Détection
Techniques moléculaires

PCR

Techniques sérologiques

Test ELISA

Agglutination

Symptomatologie
Nanisme
Déformation
Nécrose

Souvent à la suite des panachures

Panachure

Virus à mosaïque

Jaunissement aux nervures

Absence de piments

Processus d'infection
1. Infection passive de l'hôte

2. Décapsidation

3. Traduction de l'ARN

4. Multiplication

Diffusion dans la plante

Classification
Virus satelites

Parasites moléculaires d'autres virus

200 à 1400 nucléotides

Viroïdes

Dépourvu de capside

ARN monocaténaire circulaire

Petite taille (250 à 450 nucléotides)

Virus "vrais"

Symétrie hélicoïdale ou icosaédrique

Présence ou non d'un enveloppe lipoprotéique

ADN ou ARN, mono ou bicaténaire

> 1500 nucléotides