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3) Les personnes dépendantes à l’alcool ( à 24 minutes)
Réduction des risques (SESSION 4 DU CONGRES)
1) interventions non-médicamenteuses : la réduction des risques et des dommages (RDRD) s’est développé depuis 1980. Au départ prévention du SIDA suite à l’injection de drogues, Les considérations légales et morales n’étaient peut être pas prioritaires et moins que celles de l’usager lui même. C’est une alliance avec les usagers. L’alcool est arrivé après en continuum avec l’abstinence. L’usager d’alcool consulte peu. Cette technique propose des outils complémentaires.
Le premier pas est le construction d’un lien. L’entretien motivation et le Repérage Précoce l’Intervention Brève (RBIB) sont des outils précieux pour faciliter l’entrée en soin . Il est possible d’aider les professionnels de santé en leur faisant rencontrer des associations d’usagers. Il manque de publications en France à propos de l’évaluation de d’efficacité sur la durée . L’activité physique a un effet positif., ainsi que l’appui des associations, et enfin les applications sur ordinateur ou smartphone . L’importance de la qualité de l’accueil et de la formation.
2) Interventions Brèves ( à 14 minutes) Le problème est que l’alcool est « bon » et mauvais en même temps et nous sommes tous très ambivalents avec notre propre consommation. La population française consomme en effet beaucoup :27 grammes d’alcool pur par personne et par jour. .
Les interventions brèves se focalise sur les consommateurs à risque soit 20% de la population, 30% des hommes, 20% des femmes qui boivent trop mais ne sont pas dépendants de l’alcool. Il est important de les repérer par un questionnaire de dépistage. Ce dépistage est très peu pratiqué. C’est dommage car l’intervention brève est une mesure efficace. Les études montrent que la seule intervention brève réduit la consommation de 20 grammes par semaine soit deux verres. A 19 minutes les ingrédients de l’intervention brève .Il aide à se positionner sur les bénéfices et inconvénients de sa consommation versus des repères . Le dépistage systématique est très efficace bien plus que le sevrage d’un dépendant .Les outils électroniques fonctionnent aussi.
Réduction des risques (SESSION 4 DU CONGRES)
2) Interventions Brèves ( à 14 minutes) :
INTERVENTIONS
2) Interventions Brèves ( à 14 minutes)
BREVES
CONSOMMATIONS
A RISQUE
AGE
RDRD :
SESSION 4 DU CONGRES
1) interventions non-médicamenteuses :
Le premier pas est la construction d’un lien. L’entretien motivationel et le "Repérage Précoce l’Intervention Brève (RBIB)" sont des outils précieux pour faciliter l’entrée en soin .
Il est possible d’aider les professionnels de santé en leur faisant rencontrer des associations d’usagers.
Il manque de publications en France à propos de l’évaluation de d’efficacité sur la durée .
L’activité physique a un effet positif., ainsi que l’appui des associations, et enfin les applications sur ordinateur ou smartphone .
L’importance de la qualité de l’accueil et de la formation.
NON
MEDICAMENTEUSE
1980
Réduction des risques :
1) interventions non-médicamenteuses : la réduction des risques et des dommages (RDRD) s’est développé depuis 1980. Au départ prévention du SIDA suite à l’injection de drogues, Les considérations légales et morales n’étaient peut être pas prioritaires et moins que celles de l’usager lui même. C’est une alliance avec les usagers. L’alcool est arrivé après en continuum avec l’abstinence. L’usager d’alcool consulte peu. Cette technique propose des outils complémentaires.
Le premier pas est le construction d’un lien. L’entretien motivation et le Repérage Précoce l’Intervention Brève (RBIB) sont des outils précieux pour faciliter l’entrée en soin . Il est possible d’aider les professionnels de santé en leur faisant rencontrer des associations d’usagers. Il manque de publications en France à propos de l’évaluation de d’efficacité sur la durée . L’activité physique a un effet positif., ainsi que l’appui des associations, et enfin les applications sur ordinateur ou smartphone . L’importance de la qualité de l’accueil et de la formation.
2) Interventions Brèves ( à 14 minutes) Le problème est que l’alcool est « bon » et mauvais en même temps et nous sommes tous très ambivalents avec notre propre consommation. La population française consomme en effet beaucoup :27 grammes d’alcool pur par personne et par jour. .
Les interventions brèves se focalise sur les consommateurs à risque soit 20% de la population, 30% des hommes, 20% des femmes qui boivent trop mais ne sont pas dépendants de l’alcool. Il est important de les repérer par un questionnaire de dépistage. Ce dépistage est très peu pratiqué. C’est dommage car l’intervention brève est une mesure efficace. Les études montrent que la seule intervention brève réduit la consommation de 20 grammes par semaine soit deux verres. A 19 minutes les ingrédients de l’intervention brève .Il aide à se positionner sur les bénéfices et inconvénients de sa consommation versus des repères . Le dépistage systématique est très efficace bien plus que le sevrage d’un dépendant .Les outils électroniques fonctionnent aussi.
3) Les personnes dépendantes à l’alcool ( à 24 minutes) Ce sont des malades chroniques. Ils doivent bénéficier de soins au long court .Il est important de bien soigner l’entrée dans les soins. Il existe en effet un défaut majeur d’accès aux soins.aux urgences et en médecine générale. Il est importants d’envisager des prises en charges intégratives ou coordonnées avec des soins psychiatriques, psychothérapeutiques, des douleurs, du sommeil, des comorbidités. Notion de thérapie des contingences . Les troubles cognitifs liés à l’alcool (TCLA) sont à repérer précocement. ( il existe des échelles ) . Le préalable est la prise en charge de l’urgence sociale .
CLOTURE
Pluridisciplinarité de l'expertise de l'INSERM :
Ministère de la santé :
MIDELCA
REDUCTION DES RISQUES, DEPENDANCE
Actions de prévention :
1) Réduction de l’offre et de la demande : mesures les plus coût-efficace , ouverture des débits de boissons , pas d.’accès aux mineurs de 16 à 18 ans ( à faire respecter) , augmentation des prix par produit pose problème, prix plancher efficace ( exemple de la taxe soda) recommandation de l’augmentation des prix
2) Messages et comportements (à 15 minutes) : impacts des campagnes quasiment nuls, pas de lien entre l’information, les opinions et les comportements, l’intention de moins consommer doit être très fort, feedback efficace si bien utilisé , essayer de programmer des intentions ( Où? Quand ? Comment ?) , normes sociales (prescriptives, injonctives) , l’adolescence temps de passage où les normes ont un impact, techniques persuasives et nouvelles technologies, créer messages nouveaux sur les bouteilles et impactants, NTIC recommandées, messages profilés, travailler le vocabulaire (abus, modération), utiliser des visuels combinés à des textes , pré-tester les messages car parfois effet inverse d’un mot ( réactance qui incite à consommer)
3) Interventions efficaces ( à 31 minutes) : 5 catégories dont en milieu de travail ( peu d’études à 42 minutes) , à l’école : développer les compétences psychosociales est efficace, recommandations de Renforcer les compétences , aider les femmes enceintes , les parents, Développer les compétences, internaliser les règles de vie en collectives, soutenir les actions en milieu de travail ( champ de recherche à investiguer, problème anonymat, éthiques)
4) Défi zéro alcool pendant un mois en janvier ( à 47 minutes ) créé en France à Brest, Mondial, communiquer sur les bénéfices, c’est efficace, donne plus de confiance à refuser une consommation, besoin d’évaluer par Santé Publique France, outils pour conseils personnalisés par professionnels de santé à mettre en place ,
Actions de prévention
Actions publiques, Marketing et lobbying
Environnement et ACTIONS de PREVENTION :
9) Les actions publiques ne sont pas le reflet de la dangerosité du produit alcool., nécessité de mieux communiquer, une injonction ne suffit pas, former les professionnels,
7 et 8) Lobbying et marketing (à 10 minutes) : 4P : Prix,Produit, Publicité,Place , exposition des mineurs, la publicité sur les réseaux sociaux
Consommation
Partie I : Consommation d’alcool, risque, dommage, environnement :
1) Épidémiologie ( à 23 minutes) 23% risques ponctuel, 7% à risque de dépendance dont 1% dépendant , les boissons énergétisantes potentialisent les effets de l’alcool
2) Effets sur la santé (à 35 minutes): 41000 décès, première cause d’hospitalisation , mortalité même pour les consommations faibles de 13 grammes par jour , repère à 10 verres de 10 g d’alcool par semaine, pas tous les jours, maximum 2 verres par jour, vulnérabilité des femmes. API définition floue à risque pour la morbi-mortalité
3) La période périnatale (à 52 minutes)
4) Données en épi génétique
5) Coût social (à 1h09) :6% du PIB en 2010
EFFETS
SANTE
Pharmacocinétique
Réduction
Dommages
comsommation
alcool
JUIN
Actions de prévention ( SESSION 3 DU CONGRES)
4) Défi zéro alcool pendant un mois en janvier ( à 47 minutes )
COMMUNIQUER
BENEFICES
JANVIER
UN MOIS
Actions de prévention (SESSION 3 DU CONGRES):
2) Messages et comportements (à 15 minutes) :
3) Interventions efficaces ( à 31 minutes) :
POURQUOI ?
COMMENT ?
QUAND ?
Où ?
/COMPORTEMENTS
/INTENTIONS
Actions de prévention :
1) Réduction de l’offre et de la demande, mesures les plus coût-efficace :
DEMANDE
Les politiques publiques ne sont pas le reflet de la dangerosité du produit alcool.
/PROTECTION
SAF= Syndrome d'Alcoolisation Foetal
6% du PIB en 2010
30x moins que les recettes fiscales
1) Épidémiologie ( à 23 minutes Session 1)
2) Effets sur la santé (à 35 minutes Session 1):
10 verres/semaine
10 g/verre
27 g d'alcool pur par jour
1ère cause d'hospitalisation
à moins de 13 g/verre/jour
41 000 par an