por Matéo Saclet hace 5 años
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Répétition excessives de termes dont le sens est similaire. Exemple : Nous allons finir cet exposé en concluant que…
Exagération dans le choix des termes. Exemple : Cet été un soleil de feu m’empêchait de réviser.
Énumération excessive d’un certains nombre de termes. Exemple : Dans ma trousse, stylos, gommes, effaceurs, crayons et pinceaux s’amassent.
Répétition successive d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers. Exemple : Oh, Brevet tu me casses les pieds, Brevet je vais te réviser, Brevet je t’aurai !
Figure de style très utilisée en poésie : répétition d’une ou de plusieurs voyelles dans un groupe de mots. Exemple : Mon chat ronronne tel un pacha sur le sofa.
Figure de style très utilisée en poésie : répétition d’une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots. Exemple : Les serpents susurrent au dessus de nos têtes.
Remplacer un terme précis par une définition plus large et plus elliptique. Exemple : L’astre de la nuit.
Dire le moins pour suggérer le plus. Exemple : Ta remarque n’est pas idiote !
Formulation atténuée d’une idée dont l’expression pourrait être brutale. Exemple : Il a expiré (= il est mort).
Dire le contraire de ce que l’on veut exprimer. Exemple : Surtout ne te dépêche pas pour rendre ta copie !
Prêter des propriétés humaines à un objet inanimé. Exemple : La sonnerie du collège invite les élèves à entrer en classe.
Remplacement d’un terme par un terme plus large qui le désigne indirectement : la cause pour l’effet, le contenant pour le contenu, l’artiste pour l’œuvre, la ville pour ses habitants… Exemple : Auriez-vous du feu ? / Boire une verre. / J’ai acheté un Picasso.
Comparaison qui se distingue de la précédente par l’absence de “mot-outil” : le parallèle entre le comparant et le comparé s’effectue de manière elliptique. Exemple : L’épreuve de mathématiques du Brevet, bête noire du cancre inappliqué.
Parallèle entre deux idées ou deux objets au moyen d’un “mot-outil” (”comme”, “tel”, “ainsi que”, “à la manière de”…). Exemple : Pendant son heure de permanence, Lucie est sage comme une image.
Matérialisation d’une idée abstraite. Exemple : Le nez de Paul s’allonge à mesure qu’il explique qu’il n’a pas triché au Brevet blanc (= allégorie du mensonge).
Procédé de rupture en miroir qui joue sur l’utilisation d’une opposition syntaxique. Exemple : En bas l’orage gronde sur la ville, en haut les anges jouent à la pétanque.
Deux mots opposés qui sont juxtaposés et qui forment une expression. Exemple : Une incroyable banalité / un travail divertissant.
L’antithèse est une opposition entre deux termes de sens opposés dans la même phrase. Exemple : Il est riche en province, mais il devient pauvre à Paris.
- lieu où l’on est : ici, là … - lieu où l’on va : à Marseille, en France, vers la forêt… - lieu d’où l’on vient : de France… - lieu par où l’on passe : par la forêt…
- la date et le moment : hier, la veille, au mois d’août, bientôt, tôt, tard… - la succession : d’abord, puis, ensuite, enfin, alors… - la fréquence : jamais, toujours, parfois, souvent, à chaque fois… - la durée : longtemps, depuis, durant, pendant ce temps, toute l’année…
Connecteurs exprimant la cause : car, en effet, parce que, puisque, comme,... Connecteurs exprimant la conséquence : donc, ainsi, c'est pourquoi, si bien que, de sorte que,... Connecteurs exprimant l'opposition : mais, or, pourtant, cependant, bien que, même si,... Connecteurs exprimant l'addition : et, en outre, de plus, de même que, ... Connecteurs exprimant la reformulation : ou, en un mot,...
Ancré
On dit que l’énoncé est ancré dans la situation d’énonciation lorsque l’énonciateur et le destinataire sont impliqués dans la même situation d’énonciation. C’est le cas des dialogues, conversation, pièces de théâtre... L’énoncé contient alors les indices de l’énonciation suivants ; je, tu, nous, vous, mon, nos, hier, aujourd’hui, ici, là...
Exemple : Si je suis élu aujourd’hui, dans deux semaines je partirai pour les Bahamas.
Détaché
On dit que l’énoncé est détaché de la situation d’énonciation lorsqu’il ne contient aucune marque de l’énonciateur. Le texte est à la 3e personne du singulier ou du pluriel (il, elle, ils, elles), les indices spatio-temporels sont la veille, ce jour-là, là-bas... Le temps de référence est le passé simple ou l’imparfait. C’est le type d’énoncé des récits.
Exemple : La route n’était plus qu’un bourbier, et ils avaient encore trois ou quatre kilomètres avant d’atteindre le centre de la cité.
Le complément d'agent est le sujet du verbe à la voix active. Le sujet du verbe à la voix passive est le complément d'objet du verbe à la voix active.
Exemples : - Voix active : Pierre (sujet) ferme les fenêtres (complément d'objet). - Voix passive : Les fenêtres (sujet) sont fermées par Pierre (complément d'agent). 2. Nature Le complément d'agent peut être un nom ou un pronom. Exemples : - Sophie est aimée de ses collègues. - Les travaux ont été réalisés par elle.
Voix passive : Les ballons (sujet) sont arrêtés par le gardien. Des fleurs (sujet) ont été cueillies par Marie.
Sujet secondaire
Exemples : Voix active Le gardien a arrêté les ballons (C.O.D.). Marie a cueilli des fleurs (C.O.D.).
Exemple : La jeune fille coiffe sa poupée. Dans une phrase à la voix passive, le sujet subit l'action. Exemple : La poupée est coiffée par la jeune fille.
La maison de mes parents.
Le discours indirect permet de restituer le contenu d’un discours tout en changeant la forme de celui-ci. Il est introduit par des verbes de déclaration ou d’opinion. Les verbes introducteurs peuvent permettre de nuancer le discours rapporté.
Exemples : Il dit … Elle annonce … Il affirme … Elle demande … Il s’exclame … Elle raconte … Il explique … Elle prétend … Il expose … Elle croit … Il juge … Elle répond …
Amandine est dans le café où Jean travaille. Il lui raconte la chose suivante : « J’ai vu une animatrice de télé. Elle est venue ici hier et a mangé une glace. Je l’attendrai demain. »
On parle de discours direct quand le narrateur rapporte directement les paroles d'une personne, c'est à dire telles qu'elles ont été prononcées.
Exemple : Nous irons visiter ce musée demain.
Le conditionnel passé peut aussi exprimer l’hypothèse.
Exemple : Si j’avais voulu, je serais venu.
Il peut exprimer une demande atténuée par politesse.
Exemple : Je voudrais vous parler.
Il peut aussi évoquer une action future dans le passé.
Exemple : J’étais sûr qu’elle oublierait.
Le conditionnel peut exprimer un fait probable.
Exemple : Le score serait de 53% pour le maire sortant.
Le passé antérieur évoque un fait qui est antérieur à un fait énoncé au passé simple.
Exemple : Dès qu’ils eurent fini, ils prirent la poudre d’escampette.
Le plus-que-parfait exprime une hypothèse non réalisée dans une subordonnée de condition.
Exemple : Si j’avais mieux travaillé, j’aurais mieux réussi.
Le plus-que-parfait exprime une action mise à l’arrière-plan.
Exemple : Le soleil avait disparu quand mon frère rentra.
Le futur antérieur peut exprimer une supposition.
Exemple : Ils auront sûrement oublié le rendez-vous.
Le futur antérieur évoque une action future, antérieure à une autre action future.
Exemple : Quand le soleil sera revenu, nous irons jouer.
Le futur peut aussi exprimer un ordre, une supposition ou un fait soumis à une condition.
Exemple : Vous irez à l’école à 8h00. Du bruit, ce sera ma soeur ! Si je mange autant, je grossirai.
Le futur simple évoque l’avenir par rapport au présent.
Exemple : Dimanche prochain, nous irons à la mer.
Evoquant des actions de premier plan qui font progresser l’action, le passé simple est un temps du récit.
Exemple : Il reposa son livre, se leva et partir dormir.
L’imparfait peut avoir une valeur modale dans une subordonnée de condition et ainsi exprimer une hypothèse ou une condition.
Exemple : Si tu parlais, je pourrais comprendre. Je voulais savoir si vous faisiez quelque chose ce soir.
L'imparfait d'habitude évoque des actions qui se répètent.
Exemple : Tous les matins, il promenait son chien.
L'imparfait évoque l’arrière-plan du récit (description du décor et des personnages ainsi que les faits dans leur déroulement).
Exemple : Il neigeait depuis trois jours et elle lisait tranquillement.
Le passé composé évoque une vérité générale ou une action qui se répète.
Exemple : Je me suis souvent souvenu de ma mère.
Il peut également exprimer l’éventualité après si.
Exemple : Si ça vous a plu, ils le rejoueront demain.
Le passé composé exprime une action passée par rapport au moment où l’on parle ou écrit.
Exemple : Je l’ai vu hier.
Le passé proche.
Exemple : Le boucher sort à l'instant.
Le futur proche.
Exemple : Je reviens tout de suite.
Le présent de narration rapporte des faits passés.
Exemple : Les deux chevaliers se dévisagèrent : l’instant d’après, Yvain dégaine son arme et se rue sur son adversaire.
Le présent d’habitude évoque des actions répétées.
Exemple : Tous les jours il se promène avec son chien.
Le présent de vérité générale.
Exemple : L’eau bout à cent degrés.
Le présent d'énonciation exprime les faits situés au moment où l’on parle
Exemple : J’écris ceci en ce moment.
Ils « aident » à conjuguer les autres verbes, à former les temps composés.
Etre, avoir
Expriment une action au cours du temps.
Marcher, vendre, attendre…
Expriment un état qui ne change pas et sont suivis d’un attribut du sujet.
Être, sembler, paraître, demeurer, rester, passer pour, se faire, mourir, avoir l’air, devenir, finir…
Se construisent sans complément d’objet mais sont souvent accompagnés de compléments circonstanciels (Il tomba de sommeil : cc manière).
Tomber, dormir, partir…
Se construisent avec un complément d’objet (direct ou indirect).
Manger, donner, parler…
Les verbes transitifs à deux compléments se construisent avec deux compléments d’objet (COD/COI + COS).
(Or)Donner, demander, proposer…
Ne se conjuguent qu’à la troisième personne du singulier (sujet=il, c’, ce).
Se produire, advenir, importer, se pouvoir…
Les verbes essentiellement impersonnels n’existent qu’à la forme impersonnelle.
Pleuvoir, neiger, geler, falloir, s’agir…
Certains verbes personnels peuvent être employés de manière impersonnelle.
Arriver, convenir, faire, avoir (il y a…), être (il est bon de…)…
Les verbes essentiellement pronominaux n’existent qu’à la forme pronominale ou changent de sens à cette forme.
Se souvenir, s’évader, s’enfuir, se blottir, se rebeller, s’écrier, s’exclamer, se goinfrer...
Certains verbes non pronominaux peuvent être employés de manière pronominale.
Se laver, se battre, se regarder, s’habiller, se vendre, se téléphoner…
Les verbes pronominaux réfléchis : le sujet exerce l’action sur lui-même.
Se laver, se tromper, s’extasier, se plaindre…
Les verbes pronominaux réciproques : les sujets exercent une action l’un sur l’autre.
S’appeler, se sourire, se battre, se succéder…