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par cyrille Beuve Il y a 1 mois

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Les demandeurs d'emploi /Offreurs de Compétences

En France, les demandeurs d'emploi doivent répondre à certaines conditions pour bénéficier des allocations chômage, notamment un minimum de jours ou d'heures travaillées. France Travail joue un rôle crucial en accueillant et en accompagnant les personnes dans leur recherche d'

Les demandeurs d'emploi /Offreurs de Compétences

Les demandeurs d'emploi /Offreurs de Compétences

Les Freins

Freins liés à la santé et au transport

  1. Les deux freins les plus fréquemment cités par les demandeurs d'emploi sont :La santé (43% des demandeurs d'emploi)
  2. Le transport (40% des demandeurs d'emploi)

Le manque de mobilité et les problèmes de santé constituant donc des obstacles majeurs au retour à l'emploi.

Les principales difficultés recensées en 2022
Sa propre image !!!
PLIE

L'image du chômeur en France

En 2024, la perception qu'un chômeur français pourrait avoir de lui-même

En 2024, la perception qu'un chômeur français pourrait avoir de lui-même est probablement influencée par plusieurs facteurs :


  1. Estime de soi fluctuante : Le chômage peut affecter l'estime de soi. Certains peuvent se sentir dévalorisés ou stigmatisés, tandis que d'autres peuvent rester confiants dans leurs compétences et leur valeur sur le marché du travail.
  2. Résilience et adaptation : Beaucoup de chômeurs peuvent développer une résilience face à leur situation. Ils peuvent voir le chômage comme une opportunité de se réinventer, d'apprendre de nouvelles compétences ou de se reconvertir.
  3. Frustration et anxiété : La recherche d'emploi peut engendrer frustration et anxiété, surtout dans un contexte économique incertain. Les échecs répétés lors des candidatures peuvent alimenter un sentiment de désespoir.
  4. Réseau et soutien : La perception peut être influencée par le soutien social et familial. Un réseau de soutien solide peut aider à maintenir une perception positive, tandis qu'un isolement peut aggraver les sentiments négatifs.
  5. Sensibilité aux stéréotypes : La conscience des stéréotypes sociaux peut également influencer la perception de soi. Les chômeurs peuvent internaliser ces stéréotypes, affectant ainsi leur image personnelle.
  6. Engagement dans des activités : Participer à des formations, du bénévolat ou d'autres activités peut donner un sens de l'identité et de la valeur, aidant à forger une image plus positive de soi-même malgré le chômage.

En somme, la perception qu'un chômeur français a de lui-même en 2024 est complexe et variée, dépendant des expériences individuelles, du contexte social et économique, ainsi que du soutien qu'il reçoit.

Stigmas sur les chômeurs en France, en 2024

En 2024, plusieurs stigmas persistent autour des chômeurs en France :


  1. Stéréotypes de paresse : L'idée que les chômeurs sont souvent perçus comme paresseux ou peu motivés peut contribuer à une image négative. Ce stéréotype ignore les réalités complexes du marché du travail et des circonstances personnelles.
  2. Compétences obsolètes : Les chômeurs peuvent être vus comme ayant des compétences obsolètes ou inadaptées aux exigences actuelles du marché, ce qui peut créer une discrimination à leur égard lors des recrutements.
  3. Responsabilité individuelle : Il peut y avoir une tendance à attribuer la responsabilité du chômage à l'individu plutôt qu'à des facteurs structurels, comme la conjoncture économique ou les politiques publiques.
  4. Soutien social : La dépendance à l'égard des aides et allocations peut être stigmatisée, certains considérant que les chômeurs abusent des systèmes d'assistance sociale.
  5. Manque de compréhension : La méconnaissance des réalités du chômage, telles que les effets psychologiques et émotionnels sur les individus, peut renforcer des attitudes négatives et un manque d'empathie.

Ces stigmas peuvent non seulement affecter l'estime de soi des demandeurs d'emploi, mais aussi leur accès aux opportunités professionnelles et leur intégration dans la société. Des initiatives visant à sensibiliser et à éduquer le public sur les réalités du chômage sont essentielles pour lutter contre ces perceptions négatives.

Regard sur les chômeurs en France en 2024, selon plusieurs facteurs

En 2024, le regard sur les chômeurs en France pourrait être influencé par plusieurs facteurs :


  1. Diversité des profils : Les chômeurs ne sont pas un groupe homogène. On pourrait voir une reconnaissance croissante des différentes catégories de demandeurs d'emploi, y compris les jeunes, les travailleurs âgés, et ceux issus de reconversions professionnelles.
  2. Économie et emploi : Les fluctuations économiques, telles que la montée de l'intelligence artificielle et la digitalisation, pourraient entraîner des débats sur la nécessité de formation et de reconversion, renforçant l'idée que le chômage est souvent lié à des compétences obsolètes.
  3. Stigmatisation : Bien qu'il y ait une prise de conscience accrue des défis auxquels font face les chômeurs, certains stigmas peuvent persister. Les perceptions négatives liées au chômage peuvent influencer la façon dont les demandeurs d'emploi sont perçus socialement.
  4. Politiques publiques : Les mesures gouvernementales, comme les programmes de formation ou les aides à l'emploi, peuvent modifier la perception des chômeurs, en soulignant les efforts pour les aider à retrouver un emploi.
  5. Solidarité et empathie : Avec la montée des enjeux sociaux, il pourrait y avoir un appel à plus de solidarité envers les chômeurs, avec une compréhension accrue des difficultés économiques et psychologiques qu'ils rencontrent.

Ainsi, le regard sur les chômeurs en France en 2024 pourrait être un mélange de compréhension, de solidarité et de préoccupations concernant l’adéquation des compétences au marché du travail.



Selon la proximité des français au chômage. (sondage UNEDIC avril 2024)

Cap Emploi

les missions
L'essentiel

Les droits

Aide à la création à l'entreprise
ARCE AIDE à la reprise et à la création d'entreprise
Aide au logement


https://www.aide-sociale.fr/aides-logements/

Aide à la famille
Aide au financement

France Travail (anciennement Pôle emploi) peut financer, sous certaines conditions, une formation professionnelle nécessaire à la reprise d'un emploi pour le demandeur d'emploi. Cependant, en cas d'absences non justifiées à la formation, des retenues peuvent être prévues. Des règles spécifiques sont prévues pour Mayotte.



https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N31131

RFF : Rémunération de Fin de Formation
CPF : Compte Professionnel de Formation
Allocation ponctuelle pour les jeunes en recherche d'emploi
Accès à la formation
POEC : Préparation Opérationnelle à l'Emploi Collectif
VAE : Validation des Acquis de l'Expérience
Aide à la mobilité
AFC : Action de Formation Conventionnée
POEI : Préparation Opérationnelle à l'Emploi Individuelle
AIF : Aide Individuelle à la Formation
Accés à la mobilité

les 5 catégories statistiques

L'analyse socio-économique distingue différents types de chômages, selon le facteur que l'on considère comme déterminant pour expliquer qu'un individu ne trouve pas d'emploi. On parle ainsi de cinq type de chômage : structurel, conjoncturel, technologique, technique et partiel.





les autres catégories

Quelles sont les autres catégories Pôle Emploi ? 

Même si les premières catégories servent à l’Insee, ces dernières sont particulièrement utiles pour Pôle Emploi. En effet, les catégories permettent de classer administrativement les chômeurs en fonction de leurs situations et de leurs attentes. C’est une manière pour leur proposer des offres d’emplois adaptées. 

La catégorie 1 regroupe les personnes inscrites à Pôle Emploi qui sont disponibles immédiatement, ces personnes sont à la recherche d’un CDI. 

La catégorie 2 regroupe les chômeurs qui sont inscrits à Pôle Emploi et qui recherche un CDI à pourvoir immédiatement. 

La catégorie 3 réunit les demandeurs d’emplois qui sont inscrits à Pôle Emploi. Ces personnes-là sont à la recherche d’un CDD, d’un contrat saisonnier, ils sont disponibles immédiatement. 

La catégorie 4 comprend les personnes qui sont inscrites à Pôle emploi, mais qui ne sont pas disponibles dans l’immédiat. Cela peut être dû à une formation en cours dont la durée dépasse les 40 heures par mois, un contrat de sécurisation professionnelle, un service civique, un congé maternité, ou un arrêt maladie de plus de 15 jours. 

La catégorie 5 réunit les personnes qui ne sont pas disponibles immédiatement, mais qui recherche un nouveau travail. 

La catégorie 6 rassemble les chômeurs inscrits à Pôle Emploi, qui exercent un emploi réduit de plus de 78 heures par mois, mais qui recherche un CDI à temps plein.  

La catégorie 7 comprend les demandeurs d’emplois qui sont inscrits à Pôle Emploi. Ces personnes exercent une activité réduite de plus de 78 heures par mois, ils recherchent un CDI à temps partiel. 

Enfin, la catégorie 8 comprend les personnes inscrites à Pôle Emploi. Ces personnes exercent une activité réduite de plus de 78 heures par mois, ils recherchent un CDD à temps plein.  


Le chômage

France Travail

Son rôle

France Travail a pour principales missions :


Pourquoi créer France Travail
Droit au allocation chômage

Pour avoir droit aux allocations chômage, il faut justifier d'au moins 130 jours travaillés ou 910 heures travaillées. En savoir plus sur cette condition d'accès à l'allocation d'aide au retour à l'emploi (ARE).


France Travail

Missions locales

ses objectifs
les 7 Objectifs
  1. Les principaux objectifs actuels des missions locales sont :Favoriser l'insertion professionnelle et sociale des jeunes de 16 à 25 ans, en proposant un accompagnement global et personnalisé.
  2. Offrir un service de proximité aux jeunes, avec un accueil, une information, une orientation et un accompagnement adapté à leurs besoins.
  1. Apporter un soutien dans différents domaines de la vie quotidienne : logement, santé, mobilité, accès aux droits, etc.
  2. Mettre en œuvre des dispositifs spécifiques comme la Garantie Jeunes ou le PACEA (Parcours Contractualisé d'Accompagnement vers l'Emploi et l'Autonomie).
  3. Développer des partenariats locaux avec les acteurs de l'insertion, de la formation et de l'emploi pour créer un réseau efficace au service des jeunes.
  4. Participer à l'animation et au développement local en collaborant avec les collectivités territoriales et les entreprises.
  5. Proposer des solutions innovantes et adaptées aux réalités locales pour répondre aux besoins spécifiques des jeunes de chaque territoire.
  6. Lutter contre l'exclusion sociale et professionnelle des jeunes, en particulier ceux qui sont les plus éloignés de l'emploi ou en situation de décrochage scolaire.
  7. Contribuer à l'observation et à l'analyse des besoins des jeunes sur leur territoire pour adapter les politiques publiques en leur faveur.

Ces objectifs renvoient la mission globale des missions locales qui est d'accompagner les jeunes vers l'autonomie et l'insertion durable dans la société et le monde professionnel.

L'histoire
un label national

Un label national pour mettre en valeur 40 ans d’expertise

Depuis 1982, les Missions locales proposent un accompagnement global pour aider les jeunes de 16 à 25 ans à gagner en autonomie et à dépasser des difficultés d’insertion sociale et professionnelle (qualification, emploi, logement, mobilité, santé, citoyenneté).  

Les Missions locales sont des acteurs du service public de l’emploi (SPE) depuis 2005 comme le précise le Code du travail. Près de 13 600 professionnels se mobilisent sur plus de 6 800 sites pour mener à bien ces missions. Ainsi, chaque année, 1,1 million de jeunes sont suivis et accompagnés.