av anais degert 8 år siden
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Mer som dette
La CNIL est une autorité administrative indépendante. Acteur neutre et principal de la controverse, la commission a pour mission de préserver les libertés, les droits et la vie privée des citoyens des innovations technologiques et de leurs usages. Linky transmet des données, la CNIL surveille ce projet.
Pour Rassembler et Agir sur les Risques liés aux Technologies Electromagnétiques est une association qui a pour champs d’actions la problématique « Ondes/Santé/Environnement ». Engagée contre Linky, en juillet 2015, l’organisme demande plus d’informations au Ministère. Antagoniste de la controverse, P.R.I.A.R.T.E.M use de rassemblement, pétitions et lettres ouvertes.
Engagée contre les rayonnements électromagnétiques, l’association Robin-Des-Toits est un fervent antagoniste dans la controverse. Après une lutte sur l’implantation d’antennes relais, l’organisme refait surface à coup de pétitions et articles contre le compteur communicant Linky.
Next-up est l’association la plus virulente sur la toile. L’électro-hypersensibilité est sa ligne directrice d’opposition à de nombreux projets : Linky déchaîne l’actualité de cet organisme.
Depuis 1951, l’association UFC Que Choisir est active pour informer, conseiller ou défendre les consommateurs. L’organisme publie une enquête alarmante sur les compteurs Linky, sur lequel de nombreux opposants s’appuient.
Le Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnement Electro Magnétiques se veut objectif dans ses études. Ségolène Royale cite les études du CRIIREM pour répondre aux accusation de Laurence Abeille, ce à quoi Pierre Le Ruz a répondu : « C’est une présentation très malhonnête de notre expertise! ». Le 26 février 2016, une lettre ouverte est envoyée à tous les acteurs majeurs de la controverse demandant une enquête neutre pour ne pas confronter le consommateur à des informations contradictoires.
Laurence Abeille s’appuie sur le rapport de UFC Que Choisir pour lutter contre Linky face à l’Assemblée Nationale. Antagoniste de la controverse, elle interpelle la ministre sur la question des ondes-électromagnétiques.
Saint-Macaire est une des premières communes à s’opposer à Linky. Aujourd’hui, plus de 90 communes suivent son engagement. Stéphane Lhomme incarne l’antagoniste en puissance à l’échelle des municipalités dans la controverse.
Société belge proposant un service similaire à Linky à travers un moniteur d’énergie domestique. Le service permet de transformer le domicile en habitation intelligente grâce à un suivi en temps réel de la consommation électrique ainsi que son coût, et de contrôler à distance, les appareils électriques à travers une interface disponible sur le web ou sur l’application mobile. Ce service est également disponible pour un suivi de la consommation d’eau et de gaz
Leader européen de la technologie communicante, l’entreprise Sagemcom a remporté l’appel d’offre d’ERDF pour la conception des compteurs communicants Linky. Eric Rieul, directeur général de Sagemcom est convaincu du projet européen : « L’avancée que représente Linky va être observée dans le monde entier et va contribuer au rayonnement de la filière française du comptage communicant. Nous sommes fiers d’en faire partie et nous comptons nous appuyer sur cette réussite pour participer activement à l’export de cette technologie française ».
Le 5 avril 2006, émerge le concept de compteur communicant ou intelligent. L’Union Européenne est le metteur en scène du projet qui génère la controverse avec la directive 2006/32/CE qui suggère fortement la transition aux états membres. Chaque pays suit sa politique énergétique, les compteurs intelligents ne font pas encore l’unanimité.
95 % du réseau public de distribution d’électricité sont gérés par cette filiale d’EDF créée en 2008 dans le cadre européen de l’ouverture à la concurrence du marché de l’électricité. ERDF, acteur principale de la controverse, développe et installe Linky en France.
Créée en 2000, la CRE est une autorité administrative indépendante composée de 5 membres. La commission veille « au bon fonctionnement des marchés de l’électricité et du gaz en France ». Neutre, et jouant un rôle majeure dans la controverse, la CRE rédige des rapports informatifs, autorise, approuve ou sanctionne les décisions européennes. Les compteurs Linky sont dans le viseur de la commission qui est force de propositions pour en améliorer l’utilisation du consommateur.
Ministre, Ségolène Royale suit la ligne directrice de politique énergétique mise en place durant le mandat de Nicolas Sarkozy et prolongé par le gouvernement actuel. Pour elle, Linky est l’avenir de la gestion d’énergie.
L’ADEME est un établissement public à caractère industriel et commercial qui met au service des politiques publiques et environnementales son expertise. Sous la tutelle du ministère de l’écologie, de l’énergie, de l’enseignement supérieur et de la recherche et du développement durable, la maîtrise de l’énergie est une des missions de l’ADEME, ce qui fait d’elle un des acteurs majeurs de la controverse. Favorable à Linky dans le cas où l’utilité pour le consommateur est renforcée.