realizată de Master Documentation 8 ani în urmă
3413
Mai multe ca aceasta
"l'opération qui consiste à extraire l'information pertinente d'un document et à la présenter dans un texte rédigé, bref et cohérent".
Le résumé est le principal produit de la condensation
Définition donnée dans Introduction aux sciences de l'information, sous la direction de Jean-Michel Salaün et Clément Arsenault, La Découverte, 2010
Vocabulaire de l'ADBS
"Obligatoirement rédigé, il met en évidence les informations quantitatives et qualitatives apportées par l'auteur et peut remplacer le document analysé"
Exemple : résumé d'article scientifique proposé par l'auteur.
Vocabulaire de l'adbs
"il signale de manière brève les thèmes abordés"
Exemple : texte du quatrième de couverture
Voir
- Gregory Bateson (anthropologue, psychologue,épistémologue)
- Paul Watzlawick (psychologue, psychothérapeute,psychanalyste, sociologue)
Année 50 - Californie
Etude sur le concept de METAcommunication :
Il s’agit de la communication sur la communication
La méta communication demande une prise de recul par rapport au discours, le contenu de la méta communication devient interactionnel: on parle de la relation entre soi et l’autre.
Toute communication présente deux aspects: le contenu et la relation, tels que le second englobe le premier et par suite est une métacommunication.
déf selon Paul Watzlawick.
(antoine Bernier)
Courant porté (en partie) par Pierre Lévy, philosophe, spécialiste de technologie de l'infocom... à compléter (Antoine Bernier)
Définition (issue d'un texte de Cairn.info)
Par cyberculture, nous comprenons les relations entre les technologies informationnelles de communication et la culture, émergente à partir de la convergence informatique et télécommunication dans la décennie de 1970. Il s’agit d’une nouvelle relation entre les technologies et la sociabilité, configurant la culture contemporaine (Lemos, 2002). Le principe qui régit la cyberculture est le remix, ensemble de pratiques sociales et communicationnelles de combinaisons, de collages et d’appropriation des morceaux d’informations à partir des technologies numériques. Ce processus de « remixage » commence avec le postmodernisme, gagne un contour planétaire avec la globalisation et atteint son apogée avec les nouveaux médias (Manovich). Les nouvelles technologies d’information et de communication modifient les processus de production, de création et de circulation de biens et de services dans ce début de siècle, en apportant une nouvelle configuration culturelle. Notre hypothèse est que plusieurs pratiques sociales liées aux nouveaux médias (sites, forums de discussion, chats, blogs, jeux en ligne, etc.), qui sont au cœur de la cyberculture par le biais du remix, n’existent que comme produits des trois lois de la cyberculture, c’est-à-dire la libération du pôle de l’émission, le principe de connexion au réseau et la reconfiguration des formats médiatiques et des pratiques sociales.
def source : Lemos André, « Les trois lois de la cyberculture. Libération de l'émission, connexion au réseau et reconfiguration culturelle », Sociétés 1/ 2006 (no 91), p. 37-48. Disponible sur URL : www.cairn.info/revue-societes-2006-1-page-37.htm.
Voir également:
- Lévy Pierre, « La cyberculture, une nouvelle étape dans la vie du langage », Gestion 2/ 2002 (Vol. 27), p. 74-80. [consulté le 16/11/14] Disponible en ligne sur URL : www.cairn.info/revue-gestion-2002-2-page-74.htm
- Lévy Pierre, « Le jeu de l'intelligence collective », Sociétés 1/ 2003 (no 79), p. 105-122. [Consulté le 16/11/14] Disponible en ligne sur URL : www.cairn.info/revue-societes-2003-1-page-105.htm.
-Lévy Pierre, « L'hypersphère publique », Médium 4/ 2011 (N° 29), p. 203-219. [Consulté le 16/11/14] Disponible sur URL : www.cairn.info/revue-medium-2011-4-page-203.htm.
- Lévy Pierre, « Au-delà de Google », Multitudes 1/ 2009 (n° 36), p. 45-52. [consulté le 16/11/14] disponible sur URL : www.cairn.info/revue-multitudes-2009-1-page-45.htm.
R. Jakobson : ( 1896 - 1982)
Le structuralisme c’est l’idée que quelque soit la culture, le groupe social ou ethnique, il existe un même modèle structural. Idée d’une seule manière de communiquer.
(Antoine Bernier)
Auguste Comte (théorie des 3 âges)
Saint-simon
Théorie créée par Claude Shannon et Warren Weaver, ingénieurs à la Bell Company.
Schéma linéaire de transmission de l'information.
Norbert, Viener (à compléter)
D'après Mr Wikipédia "L'ouvrage Cybernetics or Control and Communication in the Animal and the Machine de Wiener, publié en 1948, est considéré comme fondateur de la cybernétique et assura à celle-ci une large diffusion publique"
Définition 1)
Science qui utilise les résultats de la théorie du signal et de l'information pour développer une méthode d'analyse et de synthèse des systèmes complexes, de leurs relations fonctionnelles et des mécanismes de contrôle, en biologie, économie, informatique, etc. La cybernétique mécaniste; les automates, les postulats de la cybernétique; un congrès de cybernétique.
source déf =>Cybernétique, in Cnrtl. [consulté le 16/11/14]. disponible en ligne sur http://www.cnrtl.fr/lexicographie/cybern%C3%A9tique (Antoine Bernier)
Définition 2)
...
Etimología)
-Étymol. et Hist. I. 1834 « étude des moyens de gouvernement » (A.-M. Ampère, Essai sur la philos. des sc., 1repart., Tableau synoptique des sc. et des arts).
-II. 1948, 28 déc. « étude des processus de contrôle et de communication chez l'être vivant et la machine » (Père Dubarle ds Le Monde, p. 3 d'apr. trad. de l'angl. de N. Wiener, Cybernétique et Société [Cybernetics and Society. The Human Use of Human Beings], Deux Rives, 1952, p. 258 : Une nouvelle science : La Cybernétique. Vers la machine à gouverner?).
-I empr. au gr. κ υ ϐ ε ρ ν η τ ι κ η ́ « art de piloter; art de gouverner ».
-II empr. à l'angl. cybernetics de même orig. que I, réintroduit par le mathématicien américain N. Wiener [1894-1964] attesté en 1948 (N. Wiener, Cybernetics, 19 ds NED Suppl.2: We have decided to call the entire field of control and communication theory, whether in the machine or in the animal, by the name Cybernetics).
source Etimología => Cybernétique, in Cnrtl. [consulté le 16/11/14]. disponible en ligne sur http://www.cnrtl.fr/etymologie/cybern%C3%A9tique (Antoine Bernier)
ou
autre définition
La cybernétique est une modélisation de l'échange,par l'étude de l'information et des principes d'interaction.Elle peut ainsi être définie comme la science des systèmesautorégulés,qui ne s'intéresse pas aux composantes, mais à leurs interactions,où seul est pris en compte leur comportement global. C’est lascience des analogies maîtrisées entre organismes et machines »
Aujourd'hui,on définit la cybernétique comme « la science constituée par l'ensemble des théories sur les processus de commande et de communication et leur régulation chez l'être vivant, dans les machines et dans les systèmes sociologiques et économiques ». Elle a pour objet principal l'étude des interactions entre« systèmes gouvernants » (ou systèmes de contrôle) et« systèmes gouvernés » (ou systèmes opérationnels),régis par des processus de rétroactionou feed-back. D'où le terme « cybernétique » qui provient du mot grec« kubernesis », et qui signifie au sens figuré l'action de diriger, de gouverner.
(antoine bernier)
"L’approche cybernétique d’un système consiste en une analyse globale des éléments en présence et surtout de leurs interactions. L’action d’un élément sur un autre entraîne en retour une réponse du deuxième élément vers le premier. C’est ce que l’on qualifie de feedback ou rétroaction. Ces deux éléments sont donc reliés par une boucle de rétroaction ou boucle de feedback. Un système cybernétique équilibré a pour propriété de s’autoréguler et manifeste, dès lors, une grande stabilité dans le temps. On parle alors d’autorégulation."
Savoirs CDI, Norbert Wiener par Marie-France Blanquet http://www.cndp.fr/savoirscdi/index.php?id=430
Consulté le 05/12/2014 (Pauline Lallement)
Ecole de Francfort (Adorno, Horkheimer, Marcuse, Habermas, lazarsfeld)
Elle naît en 1923 à Francfort avec la fondation de l'Institut pour la recherche sociale (se détache de celui-ci plus tard). Elle est fermée par les Nazi en 1933, elle s'exile à New-york. 1950, elle refait son apparition 1950 en Allemagne. C'est un courant de critique Européen ayant une position "philosophie" gravitant autour de la théorie critique. Cette théorie critique consiste en un examen et une critique de la société et de la littérature
(Antoine Bernier)
Critique des Lumières par Adorno et horkheimmer
*ADORNO W. Theodor , HORKHEIMER Max. La dialectique de la Raison. Trad fr. Gallimard, 1974. p25-178. Le concept d' «Aufklärung ». Tel.
(Antoine B)
– Industrie qui duplique l'art : l’œuvre d'art devient un produit de consommation. (Cinématographe)
– Perte de l'esprit de création (homogénéisation)
– Disparition de l' « aura** » : ce qui ce dégage de l’œuvre : L' « ici-et-maintenant », perte de la valeur cultuelle (W Benjamin).
Harold D. Lasswell
Plusieurs questions d’après Lasswell pour cerner un problème de communication. (5 W)
Qui dit quoi ?
À qui ?
Par quel canal ?
Avec quel effet ?
La communication remplit trois fonctions principales :
Surveillance de l’environnement.
Coordination des différentes parties de la société dans leur réponse à l’environnement.
Transmission de l’héritage sociale d’une société à l’autre.
(Antoine Bernier)
In english, plus mnémotechnique.
WHO says WHAT to WHOM in WHICH CHANNEL with WHICH EFFECT ?
(Pauline Lallement)
D'après Armand et Michèle Mattelard* "dès les années 10, la communication a, aux USA, partie liée avec le projet d'une construction sociale sur des bases empiriques. L'école de Chicago en est le foyer. Son approche microsociologique des modes de communication dans l'organisation de la communauté est en harmonie avec une réflexion sur le rôle de l'outil scientifique dans la résolution des grands déséquilibres sociaux. [...]Suprématie de cette école jusqu'à la veille de Seconde Guerres Mondiales"
Puis à partir des années 40, nait le courant Mass Communication Research qui se base sur des recherches quantitatives en vue de satisfaire les demandes des gestionnaires de média. (à rattacher avec le fonctionnalisme ????????)
source : *MATTELART, Armand et Michèle. Histoire des théories de la communication. Ed La Découverter, 1997. p14. Les empirismes du nouveaux monde. Repère. (Antoien Bernier)
aka Cultural Studies
Cours de Linguistique Générale, Ferdinand de Saussure, 1916
Le langage est une institution sociale. Chaque signe a un signifié et un signifiant. Le langage est une structure, un système.
Sémiologie et sémiotique sont analogues.
Charles Sanders Peirce, fondateur du pragmatisme et de la "semiotics". Mathématicien. Pour lui, le signe= represantamen (signifiant)+objet (signifié) interprétant (référent)
Roland Barthes
Umberto Eco
Issu du cours de Raribah Gatti, Introduction aux théories des SIC
(Pauline Lallement)
Terme popularisé en France par le rapport "L'informatisation de la société" réalisé par Simon Nora et Alain Minc en 1978.
Résumé du rapport ici http://www.ina.fr/video/CAA7800628501/informatique-rapport-nora-video.html
Convergence des télécommunications et de l'informatique ( appelée télématique dans le rapport Nora Minc, convergence numérique aujourd'hui).
Ce concept insiste sur les dimensions économiques et politiques de la révolution numérique.
Prototypes qui ont échoué de la société de l'information : le minitel et les autoroutes de l'information d'Al Gore.
Sources : Histoire de la société de l'information, Armand Mattelart, La Découverte, 2009
(Pauline Lallement)
Je ne sais pas si ce concept est (Directement) du ressort des SICs, mais ça me parait (tout de même) important/intéressant à préciser.
Définition :
1. 1777 « art de découvrir le sens exact d'un texte » (Encyclop. Suppl. t. 3); en partic.
1803 théol. (Boiste : herméneutique. Règle pour expliquer l'écriture sainte);
2. 1890 « interprétation de ce qui est symbolique » l'herméneutique des couleurs (Huysmans, Cathédr., p. 180).
B. Adj. 1803 (Boiste). Empr. au gr. ε ̔ ρ μ ε ν ε υ τ ι κ ο ́ ς «
qui concerne l'interprétation, propre à faire comprendre » (dér. de ε ̔ ρ μ ε ν ε υ ́ ε ι ν « interpréter, traduire »), d'où le fém. subst. η ̔ ε ̔ ρ μ ε ν ε υ τ ι κ η ́ (sous-entendu τ ε ́ χ ν η) « l'art d'interpréter ».
Fréq. abs. littér. : 15.
B. − SÉMIOLOGIE, PHILOS. Théorie, science de l'interprétation des signes, de leur valeur symbolique. Appelons herméneutique l'ensemble des connaissances et des techniques qui permettent de faire parler les signes et de découvrir leur sens (M. Foucault, Les Mots et les choses, Paris, Gallimard, 1966, p. 44).
Deux textes permettent de cerner assez complètement la question :
- un article de wikipédia décrit complètement l'origine de la notion et permet d'en voir le polymorphisme d'utilisation selon les champs.
http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9rendipit%C3%A9
- un article un peu ancien (2010) mais qui situe bien la notion dans le champ des SIC et surtout du contexte du web http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2010/02/ingenieries-de-la-serendipite.html
(D.Varlet)
(topic anciennement dans recherche documentaire)
Mot créé il y a deux siècles et demi par Horace Walpole.
Définition n°1) : c’est la faculté de
découvrir par hasard des choses que l’on ne cherchait pas.
Définition n°2) : La faculté ou la chance de trouver la preuve de ses idées de manière inattendue, ou bien de découvrir avec surprise de nouveaux objets ou relations sans les avoir cherchés.
(Antoine Bernier)
Ancien mot grec, qui désigne les supports de mémoire artificielle.
Tout(e) Outil/objet technique/technologie permettant une spatialisation (dans le temps et l'espace) de la mémoire.
Antoine Bernier
Ce qui peut être mauvais ou bien selon l'utilisation que l'on en fait (Antoine Bernier)
Concept philosophique, notamment employé dans le cadre de la genèse instrumentale, de la réflexion anthropologique des usages des objets techniques, et donc des objets numériques (Rabardel, Stiegler)
(D.Varlet)
Utilisé dans le Phèdre de Platon pour parler de l'écriture comme pharmacos de la mémoire et du savoir (dans le mythe de l'invention de l'écriture). Analysé par Jacques Derrida dans La pharmacie de Platon et Yves Jeanneret dans Y-a-t-il vraiment des technologies de l'information ?
(Pauline Lallement, me dire si c'est superflu)
Jürgen Habermas dit "le processus au cours duquel le public constitué d'individus faisant usage de leur raison s'approprie la sphère publique contrôlée par l'autorité et la transforme en une sphère où la critique s'exerce contre le pouvoir de l'État"
source Jürgen Habermas, L'Espace public : archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise, Payot, Paris, 1997. (Antoine Bernier)
Selon Pierre Lévy il y a déplacement de la sphère publique sur le web (2.0???) il parle d'hypersphère publique (Antoine Bernier)
Au sens ordinaire, le mot foule représente une réunion d'individus quelconques, quels que soient leur nationalité, leur profession ou leur sexe, quels que soient aussi les hasards qui les rassemblent.
Au point de vue psychologique, l'expression foule prend une signification tout autre. Dans certaines circonstances données, et seulement dans ces circonstances, une agglomération d'hommes possède des caractères nouveaux fort différents de ceux de chaque individu qui la compose.
La personnalité consciente s'évanouit, les sentiments et les idées de toutes les unités sont orientés dans une même direction. Il se forme une âme collective, transitoire sans doute, mais présentant des caractères très nets. La collectivité devient alors ce que, faute d'une expression meilleure, j'appellerai une foule organisée, ou, si l'on préfère, une foule psychologique. Elle forme un seul être et se trouve soumise à la loi de l'unité mentale des foules.
Source : Gustave Le Bon, Psychologie des foules, Alcan, 1895, 191 p. (Antoine Bernier)
Une médiasphère (Néologisme de Regis Debray) est un système dynamique d’écosystèmes complexes réorganisés par et autour d’un média dominant (simple), généralement le dernier en date. »
Logosphère (écriture)=>Terre
Graphosphère (imprimerie)=>Mer
Vidéosphère (Audiovisuel)=>Espace
Hypersphère??????? (Internet)(cf pierre Lévy)
Source : Régis Debray, Cours de médiologie générale. Bibliothèque des Idées, 1991, 395p. (Antoine Bernier)
voir tableau synthétique concernant les médiasphères, In Cairn.info http://www.cairn.info/loadimg.php?FILE=CDM/CDM_006/CDM_006_0027/CDM_idPAS_D_ISBN_pu1998-02s_sa02_art02_img002.jpg [Consulté le 13/11/14 à 00h04] (Antoine Bernier)
Médiasphères actualisées et expliquées simplement dans DEBRAY Régis, MERZEAU Louise, « Médiasphère », Médium 3/ 2005 (N°4), consulté le 2 novembre 2014. URL : http://www.cairn.info/revue-medium-2005-3-page-1 62.htm
(Pauline Lallement)
Définition de VEILLE par l'ADBS condensée
Dispositif organisé, intégré et finalisé de collecte, traitement, diffusion et exploitation de l'information qui vise à rendre une entreprise, une organisation capable de réagir face à des évolutions ou des menaces de son environnement.
CURATION
un ensemble de pratiques et une gamme d'outils destinés à des opérations de republication web - Voir vidéo explicative http://www.adbs.fr/vous-avez-dit-curation-1-definition-historique-des-pratiques-outils-et-usages-115668.htm?RH=1266334869518#sthash.lYx2tbeg.dpuf
Curation = "surveiller, lire, commenter, re-publier et partager du contenu" (Richard Peirano)
"conception et mise en ouvre d'outils permettant de répondre aux missions de la structure et aux attentes des usagers" (Bertrand Calenge)
Concept d'abord né dans le monde des bibliothèques étendu aux CDI, introduit dans le rapport Durpaire ( "ensemble des objectifs que vise un service documentaire pour servir un public défini"2004), puis dans le protocole d'inspection (2007) et enfin dans le référentiel de compétences des enseignants( 2013).
norme ISO 11620 sur les indicateurs de performance des bibliothèques
norme ISO 2789 sur les statistiques en bibliothèque
Définition 1)
Définition 2)
Etymologia
Vocabulaire de l'ADBS
"Nécessité ressentie de combler une déficience constatée d'information, une lacune, un défaut ou une anomalie. On distingue le besoin d'information en vue de la connaissance (savoir) et le besoin d'information en vue de l'action (agir)"
Définition du vocabulaire de l'ADBS ( A actualiser ?)
Ensemble des méthodes, procédures et techniques permettant, en fonction de critères de recherche propres à l'usager, de sélectionner l'information dans un ou plusieurs fonds de documents plus ou moins structurés. Toute recherche d'information suppose trois phases successives_:
a) une recherche bibliographique des références de documents pertinents
b) une recherche documentaire, c'est-à-dire une recherche bibliographique complétée par la recherche (l'acquisition) des documents eux-mêmes c) et enfin le repérage de l'information dans les documents sélectionnés (recherche de l'information).
Définition :
L’interopérabilité est la capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d'autres produits ou systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d'accès ou de mise en œuvre.
Source : http://interoperability-definition.info/ [consulté le 13/11/14 à 20h13](Antoine Bernier).
Exemple de langage interopérable :
-XML,RDA (j'ai un doute),[X]HTML(X.X) (structuration des pages)
-XML schéma, DTC, OWL (détermination des ontologie, description du contenu des balises du fichier de langage de structuration associé)
-SQL ?
(Antoine Bernier)
Base de données ou index ne retournant aucun ou peu de résultats à la suite d'une requête. Peut-être due à une mauvaise requête (erreur aval) ou une mauvaise indexation (erreur amont)
(Antoine Bernier)
On parle de bruit documentaire lorsque les résultats retournés par l'outil de recherche viennent parasiter l'activité et retarder l'obtention de la réponse soit par le trop grand nombre de ces résultats, soit par leur faible qualité. (Antoine Bernier)
Importance de la distinction entre pertinence algorithmique (moteur de rechercher ou base de donnée) et pertinence utilisateur (D. Varlet)
voir Conférence d'olivier le Deuff sur la translittératie
http://www.canal-u.tv/video/fadben_federation_des_enseignants_documentalistes_de_l_education_nationale/la_convergence_mediatique_la_culture_de_l_information_sur_la_piste_de_la_translitteratie.9861
Définition
Sue Thomas définit comme « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plates-formes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux »(A.Bernier)
ATTENTION
D'après Alexandre serre* qui reprend la définition de Thomas SUE [en anglais]** transliteracy (et non trans-litteratie cf plus bas) est "un terme anglo-saxon, formé à partir, non pas directement du célèbre literacy, qui a donné beaucoup de fil à retordre aux traductions françaises, mais plutôt d’un terme voisin, le verbe transliterate. Sue Thomas et ses collègues, dans leur texte fondateur, précisent en effet que « le mot translittératie est un dérivé du verbe to transliterate, qui signifie écrire ou imprimer une lettre ou un mot en utilisant les lettres les plus proches provenant d’un autre alphabet ou d’une autre langue. "Tous les bibliothécaires et les spécialistes des langues connaissent la translittération, opération qui consiste à transcrire, lettre pour lettre, un alphabet dans un autre (par exemple à passer de l’alphabet cyrillique à l’alphabet latin). La translittération est le passage d’un système d’écriture dans un autre système."
"Comme la translittération, la translittératie prend appui, dans son étymologie même, sur les sciences et les compétences de l’écrit, c’est-à-dire la literacy au sens premier du terme. Et par le préfixe trans-, elle y ajoute l’idée de passage, d’échange, de transversalité des compétences, mais en élargissant considérablement le champ des domaines concernés.[...]"
sources :
-*Serres, Alexandre. Repères sur la translittératie. Séminaire GRCDI. 07/09/2012 [Consulté le 16/11/14]. Disponible en pdf sur : http://culturedel.info/grcdi/wp-content/uploads/2012/09/Seminaire-GRCDI-2012_texte-A.Serres.pdf
-Thomas, Sue et al. « Transliteracy: Crossing divides », First Monday, 3 Décembre 2007, Vol. 12, n° 12, p. 2. [Consulté le 16/11/14] Disponible sur : http://www.uic.edu/htbin/cgiwrap/bin/ojs/index.php/fm/article/view/2060/1908
(Antoine Bernier)
"Ensemble des opérations successives de sélection/collecte, de traitement, de mise en mémoire et de stockage, et de diffusion de documents et d'informations. "
Vocabulaire de l'ADBS
Aussi appelé circuit du document
(Pauline Lallement)
étymologie : du latin documentum (qui sert à instruire), se rattache au verbe docere (instruire, enseigner). Acception d'enseignement utilisé jusqu'au XVII siècle en France. Le sens moderne "écrit servant de preuve et de renseignement" s'impose à partir du XIXe siècle.
définition n°1 : Un document est un objet concret, manipulable, inscrit comme support porteur d'information. Il peut prendre des formats variés fondés sur le triptyque oral, écrit, image.
Définition n°2 : Le dictionnaire Encyclopédique des sciences de l'information et de la communication décrit le document comme une prothèse de la mémoire de l'individu (fonction de mémoire ou de preuve)
développée par la collectif Roger T Pédauque et par Jean-Michel Salaün
Le document a 3 dimensions :
-la forme (le signe, ce qui est vu)
-le contenu (le texte, ce qui est lu)
-le medium (la relation, les usages sociaux, ce qui est su)
Cette théorie est pertinente pour analyser le Web
Vu, Lu, Su. Les architectes de l'information face à l'oligopole du Web, La Découverte, 2012
(Pauline Lallement)
Classement topologique par la nature du document
(source : approche de l'information-documentation concepts fondateurs sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)
Tertiaire
Documents qui fait la synthèse de plusieurs documents primaires.
Ex : synthèse, regroupement d'articles scientifiques. Mais également, encyclopédies ou dictionnaires.
Secondaire
Comporte des données (données informationnelles ??) qui résument les informations des documents primaires.
Ex : bibliographie, catalogue, guide, etc. Tout outil conçu par les professionnels de l'info à destination des usagers (raccourcis informationnels)
Primaire
support qui comporte des informations à caractère original
les documents peuvent être classés selon leurs fonctions. Un objectif précis leur est alors attribué.
(source : approche de l'information-documentation concepteur fondateur sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)
apprentissage
promotion sociale
communication
preuve
référence
mémoire
conservation
La norme ISO 5127-1 définit le document "comme une information enregistré qui peut être traitée comme une unité dans une processus de documentation quelque soit sa forme et ses caractéristiques".
Classement par type de support.
(source : approche de l'information-documentation concepteur fondateur, page 37 sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)
document numérique (à détailler)
document tactile (braille par exemple)
document iconique
document audiovisuel
document sonore
document écrit