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по LOONES Colin 7 лет назад

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Gestion de sécurité dans les activités d'escalade

La gestion de la sécurité dans les activités d'escalade repose sur deux types de sécurité : active et passive. La sécurité passive comprend toutes les interventions volontaires effectuées par le grimpeur ou l'

Gestion de sécurité dans les activités d'escalade

Sujet flottant

Gestion de sécurité dans les activités d'escalade

La sécurité

la sécurité passive

A l'inverse se sont tous les gestes, toutes les interventions, toutes les décisions sur le vif qui sont effectués de manière volontaire et qui là encore ont pour but d'empêcher un accident ou d'en limiter les conséquences. En ce qui nous concerne cela renvoie :


La sécuité active

Ce sont tous les éléments de sécurité qui fonctionnent ou qui se mettront à fonctionner en cas de défaillance sans que l'on ai à intervenir directement et qui ont pour but d'empêcher un accident ou d'en limiter les conséquences. De tous ces éléments nous pouvons citer principalement en ce qui nous concerne :


lieux de pratique

Illustration ? image ou vidéo....

Milieu naturel
Via Ferrata
Falaise

Plusieurs longueurs

1 longueur

Milieu Artificiel
Vitesse

Parcours déjà tracé avec difficulté

Pan

Multiples prises, le grimpeur choisi les prises qu'il veut pour s'entrainer sur tel ou tel mouvement

Psikobloc

Dépendante de la connaissance de l'environnement matériel

Label (facultatif)

Non obligatoire

UIAA

Les principales qualités demandées aux cordes sont :


Ce critère est défini par le nombre de chutes que peut supporter une corde avant rupture.

C’est la propriété élastique de la corde qui est ici testée.


Les cordes pourraient être très élastiques et ainsi diminuer la Force choc.

-Elasticité dynamique :

Lors de la première chute, la corde ne doit pas s’allonger de plus de 40 %.

-Elasticité statique :

Corde à simple : 10 % maximum d’allongement sous 80 kg

Corde à double : 12 % maximum d’allongement sous 80 kg

Lors de la conception de la corde, la gaine est tissée sur l’âme d’une façon plus ou moins serrée. Si le tissage est lâche, la corde sera très souple, mais après utilisation la gaine peut alors glisser sur l’âme (effet de « chaussette »).


Les normes(obligatoire)

obligatoire

Equipement de protection individuelle (EPI)

Les Equipements de Protection Individuelle (EPI) sont classés en trois catégories en fonction de leur utilisation et du degré de risque pour lequel ils protègent : 

EPI de classe 1 (risques mineurs, lésions superficielle)

Ces équipements protègent contre des risques légers ne pouvant entraîner que des lésions superficielles et réversibles, ne touchant pas d'organes vitaux.

Exemples : gants, lunettes de soleil....

Marquage : Ces équipements doivent posséder le marquage CE.


EPI de classe 2 (risques intermédiaires, lésions graves)

Ces équipements protègent contre des risques intermédiaires pouvant entraîner des lésions irréversibles.

Il s'agit par exemple des crampons ou des casques.

Marquage : Ces produits doivent posséder le marquage CE plus l'année de fabrication (exemple : CE02)


EPI de classe 3 (risques mortels)

La troisième catégorie d'EPI concerne les équipements protégeant de risques mortels, comme une chute de hauteur.

L’examen CE de type est complété par un contrôle de la production réalisé par un organisme habilité.

Les matériels entrant dans cette catégorie concernent la prévention des chutes de hauteur : corde, harnais, mousquetons, pitons,...

Marquage : Ces équipements doivent être marqués CE avec l'année de fabrication et le numéro du laboratoire agréé (exemple : CE026197)

= Plus la classe de l'EPI est importante, plus les niveaux de marquages sont importants


Association Française de Normalisation (AFNOR)

La norme AFNOR ("NF S 72-701" - Avril 2008) impose la tenue d'un registre matériel qui doit contenir toutes les informations imposées par cette même norme et qui doit s'accompagner d'un contrôle de routine et annuel. Ce registre peut être un registre papier ou un registre informatique. Elle donne une date limite d'utilisation.

Conformes aux exigences (CE)

Le marquage "CE" a été créé dans le cadre de la législation européenne. Il matérialise la conformité d’un produit aux exigences communautaires incombant au fabricant du produit.

Il doit être apposé avant qu’un produit ne soit mis sur le marché européen.

Pourquoi le marquage CE ?


Il est obligatoire pour tous les produits couverts par une ou plusieurs directives européennes de type "Nouvelle

Approche" et confère à ces produits le droit de libre circulation sur l'ensemble du territoire de l'Union européenne.

Pour apposer le marquage "CE" sur son produit, le fabricant doit réaliser, ou faire réaliser, des contrôles et essais qui assurent la conformité du produit aux exigences essentielles définies dans la ou les directives concernées.

Le marquage "CE" n'est pas une marque de certification.


Afin de vérifier si le produit fabriqué ou importé est soumis à l'obligation de marquage CE, il est nécessaire de se reporter aux textes européens ou aux mesures nationales qui les ont transposées.


Cela permet au produit concerné d'être mis sur le marché communautaire, d'y circuler librement et d'y être

utilisé.

Les autorités nationales de surveillance de la sécurité des produits (douanes ou DGCCRF notamment ) peuvent

exiger la production de la déclaration de conformité et du dossier technique , afin de vérifier la validité du marquage.

A l'occasion de ce contrôle, les autorités nationales sont compétentes pour faire sanctionner l'absence ou le faux marquage CE par des suites administratives et/ou pénales (remise en conformité, amendes contraventionnelles, etc.).

Les noeuds
Auto-Assurage
Assurage

– Noeud de mule + noeud d’arrêt

– Noeud de demi-cabestan

– Noeud de va et vient

– Noeud de coeur

– Noeud de Lorenzi

Encordement

– Noeud de chaise version Yosemite

– Noeud de chaise double

– Noeud de chaise simple

– Noeud de poing

– Noeud de huit

Auto-bloquant

– Noeud de Machard tressé

– Noeud de Machard

– Noeud de français

– Noeud de Prusik

Jonction

– Noeud de sangle

– Noeud de pêcheur double

Le matériel

Il faut choisir un matériel adapté :

il est indispensable d’utiliser des EPI, équipements de protection individuelle ayant le marquage CE, répondant de plus aux caractéristiques suivantes :


Le harnais, le baudrier :


-Taille adaptée à l’utilisateur permettant un réglage ajusté ;

-Point(s) d’encordement(s) clairement identifié(s) ;

-Système(s) de réglage d’utilisation simple et aisée ;

-Sangles et boucleries de réglage pré-assemblées, de préférence automatiques.


La corde

corde à simple dynamique de diamètre compatible avec le système d’assurage et utilisée en respectant scrupuleusement les notices du fabricant et/ou le marquage ;


Système d'assurage :


-L’assureur doit utiliser unsystème d’assurage dont il maîtrise le fonctionnement.

-tous les freins d’assurage, et tout particulièrement ceux à blocage assisté, doivent être utilisés conformément à la notice du fabricant.

-Le grimpeur et l’assureur doivent vérifier la compatibilité du frein avec le diamètre de la corde.

-NE JAMAIS LACHER LA CORDE DE VIE



Preuve de maîtrise

les connaissances théoriques

Il manque des définitions....

Tirage

Le tirage en escalade est l'effet de résistance ressenti par le grimpeur sur la corde lorsque celle-ci ne suit pas un trajet rectiligne et frotte fortement sur le rocher ou les mousquetons, dégaines.

Il est important de minimiser le tirage, d'abord afin de pouvoir grimper plus facilement (sans forcer pour tirer la corde), ensuite pour réduire le facteur de chute. Pour ce faire, on utilise des dégaines longues voire des anneaux des sangles afin de réduire les angles au niveau des points ancrages (ce qui nécessite d'anticiper le cheminement de la voie).

Effet poulie
Facteur de chutes

Facteur de chute théorique

Le facteur de chute est souvent utilisé pour quantifier la sévérité de la chute en escalade. Il est compris entre 0 et 2 en escalade.

Schéma facteur de chute théorique.

Fth = Hauteur de chute/Longueur de corde

Fth = facteur de chute théorique

Hauteur de chute = hauteur de chute du grimpeur

Longueur de corde = longueur de corde entre assureur et grimpeur

Le facteur de chute est le rapport entre la hauteur de chute et la longueur de corde. En escalade, la sévérité de l'arrêt de la chute ne dépend pas de la hauteur de chute, car plus la corde est longue, plus sa capacité d'absorption est importante.

Comparaison suivant capacité d'absorption.

Dans ces deux cas, la sévérité de la chute augmente. La hauteur de chute libre est identique. Il y a autant d'énergie à dissiper, mais le système est moins dynamique.

Cas 1

longueur de corde = 10 m, hauteur de chute = 4 m donc facteur de chute = 4/10 = 0,4.

La longueur de corde est importante, la capacité d'absorption est importante. La sévérité est faible, la force de choc est faible.

Cas 2

longueur de corde = 2 m, hauteur de chute = 4 m donc facteur de chute = 4/2 = 2.

La longueur de corde est faible, la capacité d'absorption est faible. La sévérité est importante.

Pour en savoir plus

En théorie, plus le facteur de chute est élevé, plus les efforts générés sont importants. La notion de sévérité en fonction du facteur de chute est valable uniquement avec une corde dynamique. Plus la corde est longue, plus la corde peut absorber. Le modèle du facteur de chute est assez simpliste, car il ne prend pas en compte les paramètres importants que sont le tirage, le type d'appareil d'assurage, le déplacement de l'assureur... Nous verrons dans les chapitres suivants l'impact de certains de ces paramètres.

Facteur de chute réel

Le facteur de chute théorique ne tient pas compte du frottement de la corde sur le rocher et dans les dégaines. Or, ces frottements empêchent la totalité de la corde de s'allonger. Ainsi, seule une partie de la corde (trait plein) va absorber l’énergie de la chute : on la nomme longueur de corde efficace. Il convient alors de parler du facteur de chute réel. On comprend alors que si le grimpeur ne prend pas les précautions nécessaires pour éviter le tirage, le facteur de chute réel peut très vite augmenter. Dans ce cas, la chute sera plus sévère pour le grimpeur.

Schéma facteur de chute réel.

Fr = Hauteur de chute/Longueur de corde efficace

Fr = facteur de chute réel

Hauteur de chute = hauteur de chute du grimpeur

Longueur de corde efficace = longueur de corde qui travaille réellement

Force de choc

Pendant son vol, le grimpeur convertit son énergie potentielle ( du faire de sa position en hauteur ) en énergie cinétique ( du fait de sa vitesse de chute ). Au moment où l'assureur stop la chute du leader, l'absorption de l'énergie cinétique se traduit par un allongement élastique de l'apparition de chaleur due au divers frottement. La force de choc est donc l'impact que va exercer un grimpeur à la fin d'une chute. C'est l'effort exercé sur la chaîne d'assurage et le grimpeur lorsque la corde se tend à l'arrêt de la chute.

Cette notion est particulièrement importante pour assurer :

- le confort du grimpeur

- la sécurité du grimpeur car un arrêt trop violent peut traumatiser l'organisme du grimpeur, et/ou solliciter de façon trop importante les points d'ancrage..

Quand le grimpeur chute :

1-convertion de l'énergie potentielle en énergie cinétique

2- Il acquière donc de la vitesse

3- La corde s'allonge. Elle se comporte comme un ressort qui oppose une force proportionnelle à son allongement. Ce travail de la force élastique de la corde emmagasinée par la corde. En fin de chute, la corde restitue cette énergie sous la forme :

Force de choc = F = Mg(1+racine de 1+2RSe/Mg)

Mg = poids de l'individu en N ( M = Kg, g = 9.81 N.Kg)

R = Facteur de la chute

Se = Propriété dynamique de la corde ( varie entre 3 et 5 )

Lorsqu'on grimpe on ne peut plus jouer sur son poids (Mg), ni sur la nature de la corde utilisée (Se). Le seul facteur qui va varier au moment de la chute est le rapport R = H/L

Donc pour réduire la force de choc, la seule possibilité ( en plus de l'assurage ) est de réduire le facteur de chute R.

Résistance matériel

Le corps humain ne doit pas supporter plus de 15g ( gravité 9.81) durant l'amortissement.

La corde doit donc supporter au minimum 15*g*80kg = 12000N =12 KN

L"effet poulie sollicite 2 fois toute la chaîne d'assurage ( piton , dégaine..)

Les dégaines doivent donc supporter 2*12KN=24KN

En fait le frottement de la corde consomme environ 30% de l'énergie, soit la force exercée sur la dégaine est donc de l'ordre de 20KN

les procédures
Secours

Gestes de secours

Les bonnes attitudes à avoir :


  1. Sécurisez le lieu de l'accident et les personnes impliquées
  2. Appréciez l'Etat de la victime
  3. Demandez de l'aide
  4. Effectuez les gestes de premiers secours

Communication

Portable, poste de radio d’un refuge, d'une cabine de téléphérique, d’un poste de barrage EDF ou auprès des gardes si vous êtes dans un parc national :


Numéros

15 (secours médicaux, Service d'aide médicale urgente :SAMU),

17 (police et gendarmerie, Police secours),

18 (Sapeurs-pompiers : incendie et secours),

112 (numéro d'appels d'urgence européen), acheminé vers les pompiers ou le SAMU en fonction du découpage géographique



Premiers secours

En attendant les secours : mise en condition du blessé. En attendant l'arrivée des secours, vous aurez pris la précaution de préparer le blessé :

  1. Isoler du sol et protéger du vent et des intempéries
  2. Réchauffer avec des vêtements et / ou une couverture de survie (bien arrimée pour éviter qu'elle ne s'envole à l'arrivée de l'hélicoptère) ;
  3. Emballer la blessure avec les moyens dont vous disposez et selon le type de blessure.
  4. Eviter de désinfecter la plaie. Le travail sera mieux fait en centre hospitalier et votre intervention pourrait gêner celle des médecins urgentistes ;
  5. Laisser au blessé son équipement : combinaison, baudrier (pour sécuriser et évacuer si treuillage nécessaire), garder le casque.
Vérification

Patner check (lien)

contrôle

Etat du matériel EPI

Routine

Annuel

Registre de suivi

Le Registre de Sécurité doit préciser l'identité du Propriétaire et du Gestionnaire du parc d'EPI. Il est constitué :

-type ( corde, SA, Baudrier...)

-Nom du fabriquant ( PETZL, Beal..)

-Désignation ( ex : pour baudrier : Selena )

-date de fabrication

-durée de vie selon fabriquant ( 5,10 ans ..)

-Date de fin de vie ( ex:2022)

-Numéro identification

techniques sécuritaires

En cas de chute, le dernier point mousquetonné subit à la fois la force de choc transmise au grimpeur et la force venant de l’assureur. Ces deux forces s’ajoutent. C’est ce que qu’on appelle l’effet poulie. La force venant de l’assureur est plus faible que la force de choc transmise au grimpeur à cause du frottement dans le mousqueton. C’est pourquoi, en définitive, la force totale exercée sur le dernier point est égale à environ 1,60 fois la force sur le grimpeur !

ascension

Moulinette et en tête

Bloc

-Tapis joint et scratchés. Pas d’objets au sol.

-Ne pas stagner sous un grimpeur. S’assoir derrière la zone de tapis.

-PARADE : facultative si les blocs évoluent en traversée. Elle

devient obligatoire pour des blocs qui créent des déséquilibres et à proximité du mur inclinable (angle dans le dos)

assurage

Pendant la descente

Mettre les deux mains sous le huit. Selon le poids du grimpeur :

- le grimpeur est relativement léger, laisser coulisser la corde entre ses mains en contrôlant la vitesse de descente. - le grimpeur est relativement lourd, on garde une main fermée sur la corde pendant que l'autre main descend dessous. Tout en gardant serrée la main aval, laissez la remonter et placer la main amont en dessous. Et ainsi de suite.

Pendant l'ascension

En tête

-Installe son système d’assurage et prend le mou correspondant à la hauteur du premier point. (Anticipation)

-Parade systématique du grimpeur avant le premier point d’ancrage. -Se placer sous le grimpeur et accompagner la chute si besoin.

-Assurer proche du mur mais jamais sous le grimpeur. Après le troisième point, on peut se reculer du mur.

-Il faut toujours anticiper les besoins du grimpeur en avalant ou en donnant du mou selon les situations.

-Il faut savoir dynamiser une chute ou la sécher lorsque c’est nécessaire (risque de retour au sol ou de taper une vire). Il faut toujours rester vigilant.

-Si descente en moulinette, la faire doucement afin de récupérer le matériel.

-Se rapprocher de la paroi pour faciliter le retrait de la dernière dégaine en cassant l’angle de corde.

Communiquer avec son partenaire

Mou

Sec

Maintenir la ligne d'assurage

Généralités

L'assurage en 4 temps, bien maitrisée, cette technique assure de façon permanente la sécurité du grimpeur.

Les précautions à prendre :


-Ne jamais lâcher le brin au sol dit aussi la ligne de vie 

-Ne jamais perdre du vue le grimpeur 

-Ne pas se laisser distraire pendant la phase d’assurage


Méthode ABCD :


 A : Avale : Pour avaler le mou créer dans la corde par le grimpeur qui grimpe

 B : Bloque : Pour bloquer la corde après avoir avaler en plaçant la main de freinage vers le bas

 C : Change : Pour changer de main (main sur la corde de grimpe qui va se placer au-dessus de la main de freinage

D : Déplace la main : On glisse la main de freinage vers le haut afin qu'elle reprenne sa position initiale. On glisse maintenant les mains sur la corde de freinage afin de conserver en tout temps un contact sur la corde.

Avant de grimper

Patner Check

Le partner check est une compétence sécuritaire et essentielle pour la pratique de l'escalade. Sa réalisation doit être minutieuse et systématique avant chaque montée. Le partner chek se réalise avec les deux personnes pratiquantes.

Il s'agit de de réaliser une autoévaluation puis d'une co-évaluation des points clefs sécuritaire de la mise en place de notre matériel, comme par exemple:

- la vérification du noeud de huit correctement réalisé

- le mousqueton verrouillé

- ou encore la corde libre du bon côté

8 accidents sur 10 sont du à l'oubli du partner check.


Construire la chaîne d'assurage

rajouter cours début poly !!!!!!!!!!!!

de descentes

Il manque des techniques de descente : manip de maillon, réchappe, rappel....

Rappel

https://www.petzl.com/FR/fr/Sport/Descendre-en-rappel

Identification des risques

Il faut distinguer et définir les deux types de risques.

Subjectif

C’est le risque tel qu’il se défini au travers des représentations du sujet (de la situation, de lui-même, de l’APS, de l’environnement...). Le risque est d’autant plus subjectif que le sujet est débutant dans l’activité, qu’il entretient avec cette activité une relation empreinte

d’émotion. Cette appréhension du risque peut engendrer des comportements irrationnels

Le risque perçu

c

Le risque préférentiel

C'est le niveau de risque qu'un élève considère, inconsciemment, pouvoir prendre pour atteindre le but qu'il s'est fixé. Chaque élève a donc son propre niveau de risque préférentiel. Cette représentation du risque est liée à la personnalité du sujet et aux enjeux de l’activité. Ex en escalade : si je tente telle voie, j’aurai la reconnaissance de mes pairs en cas de réussite, mais je peux “voler” dans le passage clé et me blesser ...? Entre coût et bénéfice le grimpeur doit ici choisir : le risque préférentiel est le meilleur rapport entre les différentes «utilités» de son action.

Objectif

Il renvoie à un jugement précis et objectif du risque dans une situation donnée. En escalade il dépend :

Le niveau de risque objectif est le seul sur lequel nous pouvons avoir une réelle influence, les 2 autres types de risque étant quant à eux dépendants du "caractère" de chacun.Risque lié au terrain

Le niveau du grimpeur est lié indirectement au risque objectif dans le sen qu'un grimpeur expérimenté aura plus d'information sur la voie etc.. que un novice