av Green Amigo för 3 årar sedan
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Mer av detta
Roché, H. P. (1993). Jules et Jim. Marion Boyars.
Impose une définition traditionnelle de la masculinité.
Tout au long de l'histoire, Kath est le coupable et celui qui est infidèle. Ce rôle était typiquement attendu de la figure masculine dans les relations, comme l'exprime Jules lui-même.
Résistance aux valeurs bourgeoises dans la France du 20ème siècle
Jim et Jules ne peuvent échapper aux normes sociales qu'en utilisant Kathe.
Les deux hommes admirent l'impulsivité de Kathe car ils l'assimilent à l'expression de son véritable moi.
La jalousie est utilisée comme une mesure de l'amour
La dernière tentative de Catherine pour prendre le contrôle.
Je ne pourrai jamais pardonner à une femme de m'aimer. M'aimer est un signe de perversion ou de compromission (pg. 76).
Utilisé par kath dans une tentative de diviser l'amitié entre les deux hommes.
Le motif du début et de la fin des relations dans le but de contrôler Jules et Jim. Ce motif de manipulation est utilisé par chaque membre du trio à un moment donné pour maintenir le mariage.
Tourmentée par leurs opinions opposées et leurs désaccords, mais toujours prête à tout abandonner par amour
Jim et Kathe:
«seulement communiqué dans la traduction» (pg. 132)
Décrit le milieu sociétal du début du 20e siècle.
Jim écrit comme l'alter ego de Jules. Ce parallèle met en évidence les attentes à l'égard des hommes dans les relations amoureuses dans la France du XIXe siècle.
Kath est considérée comme un bien précieux par les deux hommes. Cette compétition pour gagner son affection renforce leurs liens.
Soutient la relation entre les deux hommes tout au long du roman en acquérant des choses qui sont considérées comme précieuses par leur société (comme une belle femme).Le point de vue de Jules montre une légère agressivité passive envers Jim, en particulier lorsqu'il présente Kathe.
Kathe est constamment comparée à Hestia, déesse domestique de la mythologie grecque.
Symbolise les attentes irréalistes des deux hommes à l'égard de leur relation.
Déshumanise Kathe.
Référence à Napoléon : Kath était décrit comme un individu légendaire, plus grand que nature
