作者:Oueslati Manel 10 年以前
242
更多类似内容
Définition de VEILLE par l'ADBS condensée
Dispositif organisé, intégré et finalisé de collecte, traitement, diffusion et exploitation de l'information qui vise à rendre une entreprise, une organisation capable de réagir face à des évolutions ou des menaces de son environnement.
CURATION
un ensemble de pratiques et une gamme d'outils destinés à des opérations de republication web - Voir vidéo explicative http://www.adbs.fr/vous-avez-dit-curation-1-definition-historique-des-pratiques-outils-et-usages-115668.htm?RH=1266334869518#sthash.lYx2tbeg.dpuf
Définition 1)
Définition 2)
Etymologia
Vocabulaire de l'ADBS
"Nécessité ressentie de combler une déficience constatée d'information, une lacune, un défaut ou une anomalie. On distingue le besoin d'information en vue de la connaissance (savoir) et le besoin d'information en vue de l'action (agir)"
Définition du vocabulaire de l'ADBS ( A actualiser ?)
Ensemble des méthodes, procédures et techniques permettant, en fonction de critères de recherche propres à l'usager, de sélectionner l'information dans un ou plusieurs fonds de documents plus ou moins structurés. Toute recherche d'information suppose trois phases successives_:
a) une recherche bibliographique des références de documents pertinents
b) une recherche documentaire, c'est-à-dire une recherche bibliographique complétée par la recherche (l'acquisition) des documents eux-mêmes c) et enfin le repérage de l'information dans les documents sélectionnés (recherche de l'information).
"conception et mise en ouvre d'outils permettant de répondre aux missions de la structure et aux attentes des usagers" (Bertrand Calenge)
Concept d'abord né dans le monde des bibliothèques étendu aux CDI, introduit dans le rapport Durpaire ( "ensemble des objectifs que vise un service documentaire pour servir un public défini"2004), puis dans le protocole d'inspection (2007) et enfin dans le référentiel de compétences des enseignants( 2013).
norme ISO 11620 sur les indicateurs de performance des bibliothèques
norme ISO 2789 sur les statistiques en bibliothèque
Définition :
L’interopérabilité est la capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d'autres produits ou systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d'accès ou de mise en œuvre.
Source : http://interoperability-definition.info/[consulté le 13/11/14 à 20h13](Antoine Bernier).
Exemple de langage interopérable :
-XML,RDA ,[X]HTML(X.X) (structuration des pages)
-XML schéma, DTC, OWL (détermination des ontologie, description du contenu des balises du fichier de langage de structuration associé)
Base de données ou index ne retournant aucun ou peu de résultats à la suite d'une requête. Peut-être due à une mauvaise requête (erreur aval) ou une mauvaise indexation (erreur amont)
(Antoine Bernier)
On parle de bruit documentaire lorsque les résultats retournés par l'outil de recherche viennent parasiter l'activité et retarder l'obtention de la réponse soit par le trop grand nombre de ces résultats, soit par leur faible qualité. (Antoine Bernier)
Importance de la distinction entre
pertinence algorithmique (moteur de rechercher ou base de donnée) et
pertinence utilisateur (D. Varlet)
voir Conférence d'olivier le Deuff sur la translittératie
http://www.canal-u.tv/video/fadben_federation_des_enseignants_documentalistes_de_l_education_nationale/la_convergence_mediatique_la_culture_de_l_information_sur_la_piste_de_la_translitteratie.9861
Définition
Sue Thomas définit comme « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plates-formes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux »(A.Bernier)
ATTENTION
D'après Alexandre serre* qui reprend la définition de Thomas SUE [en anglais]** transliteracy (et non trans-litteratie cf plus bas) est "un terme anglo-saxon, formé à partir, non pas directement du célèbre literacy, qui a donné beaucoup de fil à retordre aux traductions françaises, mais plutôt d’un terme voisin, le verbe transliterate. Sue Thomas et ses collègues, dans leur texte fondateur, précisent en effet que « le mot translittératie est un dérivé du verbe to transliterate, qui signifie écrire ou imprimer une lettre ou un mot en utilisant les lettres les plus proches provenant d’un autre alphabet ou d’une autre langue. "Tous les bibliothécaires et les spécialistes des langues connaissent la translittération, opération qui consiste à transcrire, lettre pour lettre, un alphabet dans un autre (par exemple à passer de l’alphabet cyrillique à l’alphabet latin). La translittération est le passage d’un système d’écriture dans un autre système."
"Comme la translittération, la translittératie prend appui, dans son étymologie même, sur les sciences et les compétences de l’écrit, c’est-à-dire la literacy au sens premier du terme. Et par le préfixe trans-, elle y ajoute l’idée de passage, d’échange, de transversalité des compétences, mais en élargissant considérablement le champ des domaines concernés.[...]"
sources :
-*Serres, Alexandre. Repères sur la translittératie. Séminaire GRCDI. 07/09/2012 [Consulté le 16/11/14]. Disponible en pdf sur : http://culturedel.info/grcdi/wp-content/uploads/2012/09/Seminaire-GRCDI-2012_texte-A.Serres.pdf
-Thomas, Sue et al. « Transliteracy: Crossing divides », First Monday, 3 Décembre 2007, Vol. 12, n° 12, p. 2. [Consulté le 16/11/14] Disponible sur :http://www.uic.edu/htbin/cgiwrap/bin/ojs/index.php/fm/article/view/2060/1908
(Antoine Bernier)
"Ensemble des opérations successives de sélection/collecte, de traitement, de mise en mémoire et de stockage, et de diffusion de documents et d'informations. "
Vocabulaire de l'ADBS
Aussi appelé circuit du document
(Pauline Lallement)
"l'opération qui consiste à extraire l'information pertinente d'un document et à la présenter dans un texte rédigé, bref et cohérent".
Le résumé est le principal produit de la condensation
Définition donnée dans Introduction aux sciences de l'information, sous la direction de Jean-Michel Salaün et Clément Arsenault, La Découverte, 2010
Vocabulaire de l'ADBS
"Obligatoirement rédigé, il met en évidence les informations quantitatives et qualitatives apportées par l'auteur et peut remplacer le document analysé"
Exemple : résumé d'article scientifique proposé par l'auteur.
Vocabulaire de l'adbs
"il signale de manière brève les thèmes abordés"
Exemple : texte du quatrième de couverture
"ensemble des opérations par lesquelles l'information bibliographique est organisée et structurée, selon des normes établies, la rendant ainsi facilement identifiable et disponible"
Ses produits sont : le catalogue, la bibliographie, l'inventaire.
Exemples de normes et de formats de description bibliographiques : ISBD, Marc, Dublin Core
Introduction aux sciences de l'information, dirigé par Jean-Michel Salaün et Clément Arsenault, La découverte, 2010.
(Pauline Lallement)
Terme apparu sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager.
Thomas Vander Wal a forgé ce terme en combinant laᅠtaxinomie (règles de classification,ᅠtaxonomyᅠen anglais) et les usagers (folk).
(Antoine Bernier)
Annotation
Folksonomies "générales"
Privilégient l’aspect collectif et collaboratif du partage d’information.
(source : approche de l'information-documentation concepteur fondateur sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)
Folksonomies "étroites" / personnomies
utilisées dans un objectif individuel.
(Antoine Bernier)
Indexation systématique
Classification décimale universelle
Définition :
La Classification Décimale Universelle (CDU) est un langage documentaire systématique(méthodique) ou métalangage, implémenté en 1905 par Paul Otlet et Henri LaFontaine, deux théoriciens Belges de la documentation. Elle s'inspire de la Classification Décimale de Melvil Dewey(CDD) développée dès 1876.
(inspiré de Histoire de la documentation en france, Sylvie Fayet Scribes) (Antoine Bernier)
Rôles et Enjeux
La CDU a pour but de retrouver l'information quelque soit le type de système documentaire. Elle peut s'implémenter dans des domaines très variés tels que scientifiques, industriels, commerciaux mais également artistiques. Par ailleurs, elle s'applique, non seulement, aux ouvrages, mais également aux articles de périodiques, aux répertoires bibliographiques, et même à des catalogues précis. La CDU, du fait de sa notation en chiffre, indépendante de la diversité des langues, peut être assimilées à un langage international. La CDU est encyclopédique, elle ambitionne le classement de toutes les connaissances, de tous les arts du monde et même de toutes les activités.
(inspiré de Histoire de la documentation en france,Sylvie Fayet Scribes) (Antoine Bernier)
Structure de la CDU
La CDU structure les connaissances humaines en 10 grandes classes par des fractions décimales. Dans chacune des classes, chaque division correspond à une fraction de l'ensemble exprimé en chiffre. En fonction de la précision de la thématique du document classé et indexé, les 10 grandes classes sont subdivisable à l'infini. Ainsi, les divisions sont ordonnées de manière hiérarchique : du genre à l'espèce, du tout à la partie ou de l'abstrait au concret.
Voir également http://www.udcc.org/ [Consulté le 12/11/15 à 23h36] (Antoine Bernier)
Classification décimale de Dewey
Indexation analytique
Thésaurus
exemples
MOTBIS thésaurus de l'éducation nationale, intégré notamment à BCDI, disponible ici :http://www.cndp.fr/thesaurus-motbis/site/
Vedettes matières ou liste d’autorité
Exemples :
RAMEAU
Répertoire d'autorité-matière encyclopédique et alphabétique unifié
Langage d'indexation / Langage de recherche ou d'interrogation
http://www.cairn.info/zen.php?ID_ARTICLE=DOCSI_441_0042#no13
L'introduction de l'article pose clairement les notions et les enjeux des thésaurus dans le contexte des évolutions documentaires et informationnelles : base de donnée, centration professionnel de l'information vs utilisateur... (D.Varlet)
Autopostage descendant / ascendant
Terme générique / spécifique / associé / terminogramme
étymologie : du latin documentum (qui sert à instruire), se rattache au verbe docere (instruire, enseigner). Acception d'enseignement utilisé jusqu'au XVII siècle en France. Le sens moderne "écrit servant de preuve et de renseignement" s'impose à partir du XIXe siècle.
définition n°1 : Un document est un objet concret, manipulable, inscrit comme support porteur d'information. Il peut prendre des formats variés fondés sur le triptyque oral, écrit, image.
Définition n°2 : Le dictionnaire Encyclopédique des sciences de l'information et de la communication décrit le document comme une prothèse de la mémoire de l'individu (fonction de mémoire ou de preuve)
développée par la collectif Roger T Pédauque et par Jean-Michel Salaün
Le document a 3 dimensions :
-la forme (le signe, ce qui est vu)
-le contenu (le texte, ce qui est lu)
-le medium (la relation, les usages sociaux, ce qui est su)
Cette théorie est pertinente pour analyser le Web
Vu, Lu, Su. Les architectes de l'information face à l'oligopole du Web, La Découverte, 2012
(Pauline Lallement)
Classement topologique par la nature du document
(source : approche de l'information-documentation concepteur fondateur sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)
Documents qui fait la synthèse de plusieurs documents primaires.
Ex : synthèse, regroupement d'articles scientifiques. Mais également, encyclopédies ou dictionnaires.
Comporte des données (données informationnelles ??) qui résument les informations des documents primaires.
Ex : bibliographie, catalogue, guide, etc. Tout outil conçu par les professionnels de l'info à destination des usagers (raccourcis informationnels)
support qui comporte des informations à caractère original
les documents peuvent être classés selon leurs fonctions. Un objectif précis leur est alors attribué.
(source : approche de l'information-documentation concepteur fondateur sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)
La norme ISO 5127-1 définit le document "comme une information enregistré qui peut être traitée comme une unité dans une processus de documentation quelque soit sa forme et ses caractéristiques".
Classement par type de support.
(source : approche de l'information-documentation concepteur fondateur, page 37 sous la direction de Cécile Gardiès)(Antoine Bernier)