by Karapetian Garik 7 years ago
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Réseau informatique
La gestion des droits d'accès est cruciale pour la sécurité des réseaux informatiques. L'authentification des utilisateurs constitue une étape indispensable, souvent réalisée par l'
by Karapetian Garik 7 years ago
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De la même façon qu’une authentification initiale est nécessaire pour accéder aux ressources partagées sur le réseau, il est possible de demander aux utilisateurs de s’authentifier lors de l’accès à certaines applications.
Il est possible de paramétrer finement les droits d’accès associés aux ressources. Pour les fichiers et dossiers, on distingue principalement les droits d’accès suivants :
● droit en lecture seule : il permet d’accéder au fichier ou au dossier, sans modification possible, il n’y a que la consultation qui est autorisée ;
● droit en lecture/écriture : il permet l’accès et la modification ou la suppression ;
● droit d’exécution : ce droit particulier est essentiellement associé aux logiciels qui pourront être lancés (ou pas) par l’utilisateur.
Selon les systèmes d’exploitation, les droits utilisables peuvent être plus développés.
L’authentification des utilisateurs, grâce au serveur d’authentification, est un préalable indispensable. Elle est le plus souvent réalisée grâce à un couple identifiant/mot de passe, et parfois d’autres moyens tels que des cartes à puces ou le recours à la biométrie. Il est possible de créer des groupes d’utilisateurs. Dans ce cas, l’appartenance à un groupe d’utilisateurs permet d’hériter des autorisations d’accès définies pour ce groupe.
2. Les logiciels collaboratifs en mode «web»
Aujourd’hui, la plupart des logiciels collaboratifs fonctionnent en mode « web » : ils sont accessibles via un navigateur web tel que Firefox, Chrome… Il devient donc possible d’y accéder quel que soit le matériel utilisé (ordinateurs, tablettes, smartphones) et en mobilité. Les possibilités sont très étendues, par exemple travailler et modifier de façon simultanée des documents bureautiques (documents textes, feuilles de calculs de tableur, etc.).
Les logiciels collaboratifs disponibles sur le marché sont très nombreux, et plus ou moins spécialisés. En matière de suite bureautique, on peut trouver des services propriétaires comme G Suite de Google, Office 365 de Microsoft, ou des services libres comme Framapad (texteur) et Framacalc (tableur) de Framasoft.
1. La notion de logiciel collaboratif
Le réseau informatique permet d’utiliser des logiciels dits « collaboratifs » : les utilisateurs peuvent créer, partager, ou encore modifier des fichiers de travail en temps réel et de façon simultanée. Les premiers outils collaboratifs exploités de façon significative sont les agendas partagés, car ils permettent d’avoir une vue d’ensemble des plages occupées ou disponibles des collaborateurs.
2. Le choix du logiciel
Ces systèmes d’exploitation sont des logiciels qui peuvent être soit propriétaires, soit libres, en fonction du contrat d’utilisation (licence) qui accompagne le logiciel :
● Les logiciels propriétaires : il s’agit de logiciels souvent payants dont la licence limite les libertés des utilisateurs.
● Les logiciels libres : ils sont accompagnés d’une licence d’utilisation qui préserve explicitement les libertés des utilisateurs. Par exemple, la licence GPL (GNU Public License), qui est une des licences libres les plus utilisées, prévoit le respect de 4 libertés reconnues aux utilisateurs : liberté d’utiliser le logiciel pour n’importe quel usage, liberté d’étudier son fonctionnement, liberté de le modifier et liberté de distribuer des copies du logiciel original ou modifié. En revanche, il existe des obligations à respecter, par exemple publier à nouveau sous licence libre un logiciel libre dès qu’il a été modifié. (Le logiciel n’est donc pas « libre de droits ».)
1) Le role du système d’explantation
Le système d’exploitation est un logiciel indispensable au fonctionnement d’un ordinateur. Il est chargé du fonctionnement général de l’ordinateur et permet d’exécuter les différents programmes. Les principaux systèmes d’exploitation sont Windows, MacOS ou encore GNU/Linux. Les systèmes d’exploitation pour serveurs prennent en charge des problématiques spécifiques aux réseaux, telles que la gestion des utilisateurs et la mise en oeuvre de certains rôles (serveur de fichiers, par exemple).
