"Pourquoi Facebook veut-il connaître les émotions des utilisateurs?" - Miriam Paterna

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FLUX DE NEWS

En réduisant les expressions positives produites, les gens produisent moins de messages positives et viceversa

Donc les intéractions en personne ne sont pas strictement nécessaires à la contagion émotionnelle

C'est le contraire de ce que hypothèses actuelles affirment, parce que par exemple l'observation des expériences positives des autres constitue une expérience positive pur les gens

CAPTOLOGIE

Étude des méthodes d'influence etude persuasion via les technologies numériques (au département de l'université de Stanford

CONTAGION ÉMOTIONNELLE DE MASSE

Aussi les émotions exprimées par d'autres su Facebook influencent nos propres émotions

Facebook est gratuit mais il est une des entreprises plus riches du monde

Elle vende les données personnelles de ses utilisateurs à des régies publicitaires qui ciblent et influencent les internautes dans leur achats via tous les moyens numériques qu'ils ont à disposition

Toutes ces informations sont triées, analysées, stockées et mènent à un traitement intensif de données à des fins commerciales

CRÉATION D'ESPACES PUBLICITAIRES ENTIÈREMENT PERSONNALISÉS

FACEBOOK VEUT TOUT CONNAÎTRE DE NOUS, jusqu'au moindre détail

Différence énorme entre cela et la réclame télévisuelle, qui est presque inoffensive

CONTRADICTION

Possibilité d'ajouter 5 nouvelles actions (en plus du simple "J'aime" d'origine)

Depuis le 24 février 2016

Pourquoi Facebook veut-il connaître les émotions des utilisateurs?

VIOLATION DE LA VIE PRIVÉE

En Allemagne (2011) le land Schleswig-Holstein a ordonné que tous les sites hébergés dans cette région retirent le bouton "J'aime" de leur site

"Ce bouton enfreint les lois allemandes et européens en matière de protection des données privées, car il permet à Facebook de récupérer des données y compris d'utilisateurs non membres du réseau social".

Des algorithmes permettent de connaitre l'âge, le genre, les traits de la personnalité dominants, les préférences sexuelles, le niveau d'intelligence, le taux de satisfaction, les opinions politiques, la religion, les centres d'intérêts professionnels ou personnels et le statut amoureux