por Arte Media 5 anos atrás
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D'après le document "Être connecté tout en ayant une démarche citoyenne" de A. HERTAY
alain.hertay@hepl.be
Les ados passent un temps fou sur les réseaux sociaux comme Facebook et de plus en plus sur
Twitter. Comment tirer parti de cet engouement et utiliser les réseaux sociaux en classe ? C’est
l’objet de cette nouvelle formation pour enseignants du secondaire !
Quels sont les usages que les enseignants et les formateurs peuvent faire des médias et réseaux
sociaux ? A quoi peuvent-ils bien servir en classe ?
Fleurissent sur les réseaux sociaux de nouvelles formes narratives brèves, comme la «
twitterature », iconoclaste face à la sacralité du « texte » long et de la page de livre, en tous cas
objet d’une curiosité croissante, bien qu’encore timide, de la part des universitaires. Comment
expliquer l'émergence et la popularité de cette forme brève d’expression sur les réseaux sociaux ?
Qu'est-ce qui fait la singularité de ce type de langage ? Le langage numérique est-il condamné à
se cantonner à cette forme brève, facteur de son succès ?
Diffusées massivement sur les réseaux sociaux, les fausses informations sont accusées d'avoir
influencé l'élection présidentielle américaine. En France, des médias multiplient les initiatives
contre ce phénomène.
Carmen est un clip vidéo du célèbre chanteur belge Stromae qui souhaite sensibiliser petits et
grands aux risques de l’addiction aux réseaux sociaux.
Petite vidéo pour "dé-tabou-iser" Youtube.
L'épisode vous parle de l'évolution des réseaux sociaux. Facebook, Twitter, ces bêtes là vous
disent sans doute quelque chose... Mais avant eux, y'avait quoi ?
Les réseaux sociaux sont devenus notre principale source d'infos. Mais les algorithmes chargés
de dénicher le contenu ne nous enferment-ils pas dans ce qu'on appelle une « bulle de filtres » ?
Pourquoi les individus se mettent de plus en plus en scène sur les réseaux sociaux ? et comment
expliquer cette inextinguible soif de reconnaissance et de gloire ?
Les jeunes ne forment pas un groupe homogène. Et pourtant: la plupart d’entre eux souhaitent
fréquenter d’autres jeunes. Ils veulent se sentir acceptés et appréciés par les gens de leur âge;
attirés par la nouveauté, ils recherchent les limites, pour parfois les franchir. Ces besoins, quand
ils vont de pair avec une certaine naïveté, due au manque d’expérience de la vie, et avec une
difficulté à s’auto-juger, font que les jeunes, plus que d’autres groupes, se retrouvent impliqués
dans certains délits, soit comme victimes, soit comme auteurs. Ces publications de la Prévention
Suisse de la Criminalité se proposent d’informer les jeunes sur certains contextes délictueux, afin
qu’ils évitent de commettre des actes punissables ou d’en être victimes.
a) Cyberharcèlement
b) Arnaque
c) Phishing
d) Sextorsion
e) Escroquerie sur Internet
f) Piratage
Dans cette section, vous trouverez notre outil de recherche pour vous aider à trouver les plans de
leçons, fiches-conseils, ou autres ressources touchant sur les médias :
a) Quatre conseils pour gérer le temps d’écran de vos enfants ;
b) Relations en ligne : Respect et consentement ;
c) Faire face à la haine sur Internet ;
d) Vous êtes cyberfuté, mais jusqu'à quel point? : jeu-questionnaire sur la cybersécurité ;
e) Guide - Réagir à la propagande haineuse sur Internet.
Cette page est née de la demande du monde éducatif d'avoir des outils pour pouvoir aider les
jeunes à aiguiser leur esprit critique et se protéger de la désinformation. Elle s'adresse donc a
priori aux enseignants, animateurs en maison de jeunes, etc., mais reste suffisamment généraliste
pour être ouverte à tous (il y aura bien quelques liens vers des séquences pédagogiques mais qui
se fondront parmi quantité d'autres ressources).
Le webdoc A la Une peut s'inscrire, en conformité avec le parcours citoyen, dans les programmes
d’éducation aux médias et à l'information (EMI), traitée par l'ensemble des enseignants. En
suivant le parcours d'un stagiaire dans la fabrication d'un article jusqu'à sa parution, A la Une
permet aux élèves d'appréhender « les différentes étapes de la diffusion de l'écrit et de ses
supports » et d'acquérir « une lecture critique et distanciée des contenus et des formes
médiatiques » à travers plusieurs exercices interactifs. Le webdoc, en se focalisant sur la figure du
photoreporter et les difficultés d'un tel métier, répond bien aux enjeux de l'EMI : « il s'agit de faire
accéder les élèves à une compréhension des médias, des réseaux et des phénomènes
informationnels dans toutes leurs dimensions : économique, sociétale, technique, éthique. »
La série "Les Clés des médias" a remporté le prix Education aux médias et à l'information aux
Assises du journalisme. Découvrez cette série, glossaire de mots et de notions essentielles pour
appréhender les médias.
Cet article à été initialement diffusé dans le numéro d’avril du journal Epicure. La quantité
d’informations que nous recevons quotidiennement augmente. Elles nous arrivent par de
nombreux canaux différents : presse écrite, radio, télévision, réseaux sociaux, internet…
Comment gérer cette somme d’informations, mais surtout comment l’évaluer ? Une vraie question
face à la multiplication des « Hoax » ou canulars, rumeurs, propagandes ou encore théories du
complot qui circulent aujourd’hui. Tous ces termes regroupent une seule et même réalité : la
désinformation, c’est-à-dire la transmission consciente ou non d’une information transformée,
tronquée voire totalement fausse ou inventée. Aussi comment s’en prémunir et vérifier la véracité
d’une information ?
Fiche pédagogique, parue dans le dossier de la Semaine de la presse 2017. À l’ère cybériste, les
élèves, dès leur plus jeune âge, ont besoin d’acquérir de nouvelles connaissances et
compétences pour se repérer dans le dédale de la toile. Aiguiser leur esprit critique pour aborder
les informations, les vérifier, les trier est devenu indispensable. Forger l’esprit critique des élèves
pour les aider à devenir des cyber-citoyens qui ne se fassent pas manipuler et qui fassent barrage
aux idées racistes, xénophobes et complotistes.
Face aux mensonges, aux propagandes, aux théories du complot chers aux réseaux sociaux, la
Semaine de la Presse et des Médias dans l’Ecole qui se déroule en ce moment revêt une
importance considérable. Le thème « D’où vient l’info ? » est particulièrement bien choisi pour des
jeunes qui doivent apprendre à s’interroger sur l’origine des informations, leur fiabilité, leurs
sources… À l’occasion de cette Semaine qu’il a créée il y a déjà 28 ans, le CLEMI (Centre de
liaison de l’Enseignement et des Médias de l’Information – Ministère de l’Education Nationale)
publie un petit guide pratique indispensable aux parents : « La famille Tout-Ecran », auquel s’est
associée Radio France. Indispensable également à tous les éducateurs et toutes les associations
qui prennent en charge des jeunes.
Dans un souci d’intégration des TICE et de mise en avant des apports pédagogiques et
motivationnels, ce dossier sur les réseaux sociaux comprend un grand nombre de ressources
identifiées et classées par thématique : articles scientifiques, pédagogiques ou de développement
de la pratique professionnelle, vidéos, tutoriels, trucs et astuces, communautés d’échanges de
bonnes pratiques, conseils pour faire de la veille… Les réseaux sociaux sont omniprésents dans
le quotidien des adultes mais aussi des adolescents et même des enfants. Les interdire à l’école
ou ne pas accompagner leur usage revient à laisser ce jeune public face à un apprentissage dans
la sphère privée avec les inégalités que cela impliquerait. L’acquisition des bons gestes et
attitudes que ce soit dans le paramétrage, le respect de la vie privée, le droit à l’image ou la
construction d’une identité numérique participent à l’évitement de certains écueils. Citons ici et
sans être exhaustifs : le cyberharcèlement, le plagiat, la difficulté à trouver de l’information
pertinente ou à juger de sa valeur…
Ce document a été rédigé à l’issue d’une recherche en éducation subventionnée par le Ministère
de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Initier les élèves à un usage réflexif, citoyen et responsable
d’Internet tout en s’amusant ; susciter une réflexion sur les usages des jeunes en termes
d’opportunités et de risques ; envisager un bon usage de l’outil Internet sans le diaboliser ;
apprendre aux jeunes à maîtriser l’outil sans se laisser maîtriser : ce sont les objectifs du guide qui
se décline en trois parties : le jeu des portraits, les fiches d’usages, les fiches juridiques en deux
versions : pour les professeurs et pour les élèves.
Né en 1971, Jean-Marc Manach est un pionnier du journalisme d’investigation sur l’internet et du
« datajournalisme ». Il a beaucoup écrit sur la sécurité informatique et la protection des sources,
aux sujets desquels il est intervenu à Science Po, Reporters sans frontières, au CF(P)J, à l’ESJ et
dans plusieurs écoles de journalisme… Il est notamment blogueur au Monde (Bug Brother),
animateur du #14h42 pour Arrêts sur Images et NextInpact, ex-grand reporter au Vinvinteur sur
France 5… Il a aussi travaillé à Owni, InternetActu, Transfert.net, Vendredi… Il a contribué à
plusieurs sites et campagnes de défense des droits de l’homme et de la vie privée.
Nous l’avons rencontré pour évoquer son parcours, la genèse du film Une contre-histoire de
l’Internet dont il est l’auteur, ainsi que ses projets à veni
Notre identité numérique, constituée d’un agrégat d’informations volontairement ou
involontairement mises en ligne, est au coeur d’enjeux commerciaux et politiques. L’exploitation
de ces données annonce une nouvelle ère où règnent les technologies de contrôle,
d’identification, de surveillance et d’enquête. La maîtrise de ce Big Data sert les intérêts communs
du commerce et du politique. De plus, les possibilités techniques de manipulation de la réalité, et
donc potentiellement de l’opinion publique, n’ont jamais été aussi développées. Nouvel avatar de
la propagande, des “faits alternatifs” sont aujourd’hui présentés sans sourciller et le public déjà
acquis n’y voit rien à redire. Nous évoluons dans un monde de post-vérité, où les faits ont moins
d’importance que la façon dont ils sont présentés et où l’objectivité et la neutralité semblent
désormais être des idéaux d’un temps révolu, ayant définitivement perdu la bataille contre les
intérêts personnels.
Dans ce contexte, la médiation numérique ne pourrait-elle pas tenir le rôle de régulation et être le
moyen constructif et nécessaire pour rétablir notre confiance sur le Web ?