Categorii: Tot - immersion - coopération - prévention - création

realizată de Denis Philippe 2 ani în urmă

413

le numérique chez les 3-11 ans

L'usage du numérique chez les enfants âgés de 3 à 11 ans se voit à travers diverses activités qui stimulent leur créativité et leur apprentissage. Les médiathèques jouent un rôle crucial en proposant des ateliers de création, des heures du conte et des activités pour les tout-petits.

le numérique chez les 3-11 ans

Atelier

Fiche animation numérique


Date Création :


intitulé :


Heure du conte numérique


Age concerné :


: Enfants de 6 à 10 ans


Durée : 1h


Effectifs : 10 jeunes


Objectifs :


et faire découvrir la richesse de l’édition numérique.


-


Encadrement :

1 à 2 animateurs.


Matériels requis :

-Une tablette numérique.

-Plusieurs livres numériques adaptés au niveau des enfants (ici : « la petite sorcière à l’école » et « la sorcière sans nom ») La lecture de ces livres, résolution des énigmes comprise, dure de 25 à 30 minutes.

-Matériels optionnels :

-Un vidéoprojecteur

-1 table pour le vidéoprojecteur.

-Un adaptateur permettant de connecter la tablette au vidéoprojecteur.


Disposition/salle :


-Tapis et coussins au sol

-1 fauteuil pour l’animateur


Préparation :

:

-S’entraîner à lire les histoires et à résoudre les

énigmes.

-Installer la salle.

-Tester le matériel.

-Dans le cas de l’utilisation d’un adaptateur sans

fil, veiller à ce que rien ne se

trouve entre la tablette et l’adaptateur pour éviter toute interruption de la recopie vidéo.


Déroulement :

. Introduction de la séance :

Expliquer ce qu’est un livre numérique, et

demander aux enfants s’ils ont déjà manipulé une ta

blette. Présenter l’histoire,

avertir les enfants qu’ils devront aider le héros à

résoudre des énigmes.

. Lecture :

Les deux histoires présentées font intervenir diffé

rents personnages, il faut donc

prendre une voix différente pour chaque protagonist

e. L’idéal est d’avoir deux

animateurs. On peut aussi demander à des enfants d’

incarner des personnages.

. Jeux : Demander aux enfants de lire à tour de rôle les consignes des mini-jeux.

Désigner un enfant pour tenter de résoudre le problème. L’enfant vient réaliser l’action directement sur la tablette utilisée par l

’animateur. S’il échoue, un autre

enfant tentera sa chance. Dans les deux histoires présentées ici, il est possible de choisir le niveau de difficulté des énigmes.

Variantes:

-Il est également possible d’utiliser les consoles

de jeux vidéo, certains jeux du type point and click se prêtant parfaitement à ce type d’animation (ex : Captain

Morgane et la tortue dorée, un jeu pour les 6-11 an

s avec beaucoup de texte et de dialogues) Dans ce cas, on demande aux enfants de voter pour choisir quelle action effectuera le héros.

-Chaque action détermine la suite de l’histoire.

Attention :

pour arriver au dénouement de l’intrigue, il faudra ici plusieurs

séances.

Bilan / Remarques/ perspectives :

Animation réalisée le 17/02 à la médiathèque de Bar

r : l’objectif initial était de

former des membres de l’équipe à l’heure du conte numérique.

Une très bonne participation de la part des enfants

... et des adultes !

Une bénévole de la médiathèque très enthousiaste à

l’idée de réaliser elle-même ce type d’animation.

Faire participer tout le monde enfants et adultes.

Source :

BDBR Villé

Educ média

BD numérique

Makeymakey

Scratch bib

jeux video

https://mensuel.framapad.org/p/jeuxvideo

Raspberry

3D

Préventions écrans

jeux tablettes

stop motion

15 conseils de base pour les enfants à partir de 7 ans

1. Com-mu-ni-quez !

Les associations d’éducation au numérique le martèlent : il faut accompagner l’enfant dès ses premiers pas sur Internet, communiquer sur l’usage qu’il en fait, revenir avec lui sur ce qu’il a vu ou retenu. Tout d’abord, il est nécessaire de prévenir votre progéniture que certaines images ne sont pas adaptées à son âge sur Internet. Et que s’il voit quelque chose de choquant il doit vous en parler absolument. Ce n’est pas fliquer son enfant que d’être attentif à ce à quoi il est confronté. Et le web doit être l’occasion d’échanger sur un sujet et pas de se renfermer !

2. Accompagnez-le âge par âge


Utilisez Internet, ça s’apprend ! Dès 6 ou 7 ans on peut apprendre à son enfant, de façon ludique, à différencier une info ou un dessin animé d’une publicité ou d’un lien commercial. À partir de 9-10 ans, on lui apprend à développer son esprit critique et à se poser les bonnes questions : Qui a publié cette info ? Qui en est l’auteur ? Quelle est la date de publication ? Vers 12 ans, on les aide à vérifier que plusieurs sources donnent la même information et ainsi

repérer les fausses infos et autre théories complotistes

qui séduisent souvent les ados.

3. Installez l’ordinateur dans le salon

Réfléchissez à l’endroit où est installé l’ordinateur et placez-le dans un endroit visible. Cela permet de garder un oeil sur les réactions de votre enfant et de ne pas le laisser seul face au web.

4. Repoussez l’âge auquel votre enfant est équipé d’un smartphone


Pour Médiamétrie, c’est à l’entrée au collège, à onze ans et demi que les préados ont en moyenne leur premier abonnement téléphonique. 22% des enfants de 7-12 ans ont un smartphone et 89% des 12-14 ans. Rien n’empêche que votre enfant ait un téléphone mobile pour téléphoner et envoyer des textos mais les associations de parents conseillent d’attendre 14 ans pour équiper votre enfant d’un smartphone qui lui donne accès à Internet.

5. Fixez des limites de temps d’écran

Selon la dernière étude Ipsos sur les pratiques numériques des enfants

, les 7-12 ans consacrent environ 6 heures par semaine à Internet tandis que les 13-19 ans y passent plus de 15 heures. Pour fixer des règles, on peut calculer le « temps d’écran » tous supports confondus (ordinateur, console, télé, smartphone...) en se référant à la capacité d’attention de l’enfant avec des « sessions » de 20 minutes entre 3 et 6 ans, 30 minutes entre 6 et 8 ans, 45 minutes pour les 8-10 ans, 60 minutes après 10 ans. On fixe le temps durant lequel il peut surfer avant de démarrer l’activité, et surtout, on s’y tient !

6. Installez un logiciel de contrôle parental

Il existe différents systèmes de contrôle disponibles via les fournisseurs d'accès, directement dans le système d'exploitation de votre ordinateur ou encore via des logiciels anti-virus. Ils permettent que des contenus douteux (spams, phishing) ou inadaptés à l’âge de votre enfant (violences, pornographie) ne surgissent au fil de sa navigation et qu’il ne se fasse pirater ses données. Certains sont particulièrement réputés :

Parental Filter


,

Eset Internet Security


,

KiddyWeb


ou

Cybersitter

notamment. Mais attention, télécharger un logiciel ne suffit pas : pour être performant, il faut prendre le temps de les paramétrer en fonction de ce qu’on veut bloquer. On peut par exemple créer un système fermé où l’enfant n’a accès qu’à un moteur de recherche junior et où la session s’arrête automatiquement au bout de 30 minutes. Attention à bien paramétrer chaque appareil et... à faire les mises à jour. Enfin, on reste vigilant : le contrôle parental limite les risques, mais ne les élimine pas complètement !

7. Chacun sa session !

Créez une session identifiée au nom de votre enfant. Cela permet qu’il ne vienne pas regarder ce que vous faites et écrivez. Mais aussi que vous puissiez vérifier précisément ce qu’il fait. Sans les espionner, jeter de temps à autre un coup d’oeil à son historique peut s’avérer précieux.

8. Apprenez-lui à faire une recherche

Apprenez-lui qu’il n’existe pas que Google et Wikipedia. Choisissez un moteur de recherche adapté aux juniors comme

Qwant junior

. À l’occasion d’un exposé, apprenez-lui à chercher des mots-clés les plus précis possible et à utiliser les guillemets pour chercher une expression donnée.

9. Soyez vigilants aux vidéos

Regarder des vidéos, c’est l’activité principale sur le web de 90 % des 13-19 ans, et sans surprise, Youtube, l’application la plus usitée (par 79% d’entre eux). C’est tout particulièrement sur les plate-formes de vidéos qu’il peut être confronté à des contenus choquants. On installe donc

le filtre parental en activant le «mode restreint»

dans les paramètres Youtube. On lui apprend à éviter les recherches courtes ou qui peuvent prêter à confusion. Et dès qu’il est sur une plate-forme vidéo, on reste présent à ses côtés pour le guider.

10. Ne le laissez pas dormir avec son smartphone

Sur Facebook, vous êtes plusieurs à témoigner avoir retrouvé votre enfant en train d’échanger sur Internet au milieu de la nuit. Nous n’avons pas de chiffres sur cette pratique, mais les spécialistes s’accordent à dire qu’elle est courante chez les ados.

Et qu’elle perturbe leur sommeil.

Soit on établi un « contrat » d’extinction du smartphone avec son ado, soit on le garde quand il va se coucher.

11. Éteignez les écrans une heure trente avant qu’il aille se coucher

C’est la recommandation de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, expliquant que les ordinateurs et smartphones diffusent ce que l’on appelle de la lumière bleue et que cet éclairage trompe l’organisme, car l’horloge biologique la confond avec la lumière du jour et retarde l’endormissement,

à un âge où le sommeil est pourtant essentiel

.

12. Vérifiez que les jeux en ligne auxquels il joue correspondent bien à son âge

La Pan european game information

(PEGI) vous informe de l’âge (3, 7,12,16 ou 18 ans) à partir duquel votre enfant peut jouer à un jeu vidéo au regard de son contenu. Un deuxième élément est retenu dans la classification : le type de contenu présent dans le jeu (violence, langage grossier, drogue, discrimination, peur, jeux de hasard, sexe )

13. Respectez les règles

26% des 9-10 ans et 57% des 11-12 ans sont inscrits sur au moins un réseau social comme Facebook, Instagram ou Snapchat alors que ces réseaux sociaux sont interdits aux moins de 13 ans !


14. Parlez avec lui de son identité numérique

Le jour où il s’inscrit sur un réseau social, expliquez-lui que tout ce qui est publié sur les réseaux sociaux peut devenir public et réapparaître plus tard. Dites-lui qu’Internet enregistre tout et que du coup, pour effacer une image, ce n'est pas toujours facile. De même, avant de publier un commentaire ou une photo, il doit être absolument sûr qu'elle ne portera pas préjudice à quelqu'un, un jour. Suggérez-lui un pseudo, qui limite les risques et les traces pour l’avenir. Veillez aussi à bienconfigurer les paramètres de confidentialité/vie privée et vérifiez-les régulièrement.

15. Soyez exemplaire

Si vous avez du mal à vous déconnecter en présence de votre enfant il risque de ne pas vous prendre au sérieux. Mettez en place des « temps sans écrans » et tenez-vous y ! Jusqu’à sa majorité, vous êtes le garant de l’image numérique de votre enfant : ne diffusez pas son image à tort et à travers sur les réseaux sociaux !

Merci à Olivier Andrieu Girard, responsable pôle médias et usage numérique à l’UNAF, pour ses précieux conseils

"Les cadres de la Silicon Valley mettent leurs enfants dans des écoles sans ordinateur" = argument énervant.

Le numérique chez les 3-11 ans

Le rôle des services publics dans ces accompagnements

Dans les médiathèques
Quel interêt pédagogique ? quelle plus value pour l'établissement ? Quels apports pour les enfants ?

Veille et ressources pour des sélections de qualité

ressources

exemple médiathèque de Sant-nazaire

Axer sur les préventions

Amorce de préventions aux réseaux sociaux numérique

le cas de Tik Tok

activités avec le numérique

. Les applications tablettes

. les créations (scratch, stop motion, light painting)

. Impression 3 D

. les jeux vidéo

8 à 11 ans

6 à 8 ans

tablettes

la souris grise

Rennes Métropole

Applithèque Chartres

3 à 6 ans

0 à 3 ans

Activités sans le numérique



Démonstrations applis tablette

Sujet principal

Dans ce contexte : les enfants et le numérique

pourtant dès 2013
Une société en alerte
des professionnels de santé font le buzz

Des plaintes

Patrick Pelloux : autisme lié aux écrans, la "fake news" !

Appel Dr Ducanda "autisme virtuel"

Ecrans : héroïnes snumérique

Collectif Cose

des outils disponibles en permanence

Contexte : Une mutation numérique compliquée