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Fiche animation numérique
Date Création :
intitulé :
Heure du conte numérique
Age concerné :
: Enfants de 6 à 10 ans
Durée : 1h
Effectifs : 10 jeunes
Objectifs :
et faire découvrir la richesse de l’édition numérique.
-
Encadrement :
1 à 2 animateurs.
Matériels requis :
-Une tablette numérique.
-Plusieurs livres numériques adaptés au niveau des enfants (ici : « la petite sorcière à l’école » et « la sorcière sans nom ») La lecture de ces livres, résolution des énigmes comprise, dure de 25 à 30 minutes.
-Matériels optionnels :
-Un vidéoprojecteur
-1 table pour le vidéoprojecteur.
-Un adaptateur permettant de connecter la tablette au vidéoprojecteur.
Disposition/salle :
-Tapis et coussins au sol
-1 fauteuil pour l’animateur
Préparation :
:
-S’entraîner à lire les histoires et à résoudre les
énigmes.
-Installer la salle.
-Tester le matériel.
-Dans le cas de l’utilisation d’un adaptateur sans
fil, veiller à ce que rien ne se
trouve entre la tablette et l’adaptateur pour éviter toute interruption de la recopie vidéo.
Déroulement :
. Introduction de la séance :
Expliquer ce qu’est un livre numérique, et
demander aux enfants s’ils ont déjà manipulé une ta
blette. Présenter l’histoire,
avertir les enfants qu’ils devront aider le héros à
résoudre des énigmes.
. Lecture :
Les deux histoires présentées font intervenir diffé
rents personnages, il faut donc
prendre une voix différente pour chaque protagonist
e. L’idéal est d’avoir deux
animateurs. On peut aussi demander à des enfants d’
incarner des personnages.
. Jeux : Demander aux enfants de lire à tour de rôle les consignes des mini-jeux.
Désigner un enfant pour tenter de résoudre le problème. L’enfant vient réaliser l’action directement sur la tablette utilisée par l
’animateur. S’il échoue, un autre
enfant tentera sa chance. Dans les deux histoires présentées ici, il est possible de choisir le niveau de difficulté des énigmes.
Variantes:
-Il est également possible d’utiliser les consoles
de jeux vidéo, certains jeux du type point and click se prêtant parfaitement à ce type d’animation (ex : Captain
Morgane et la tortue dorée, un jeu pour les 6-11 an
s avec beaucoup de texte et de dialogues) Dans ce cas, on demande aux enfants de voter pour choisir quelle action effectuera le héros.
-Chaque action détermine la suite de l’histoire.
Attention :
pour arriver au dénouement de l’intrigue, il faudra ici plusieurs
séances.
Bilan / Remarques/ perspectives :
Animation réalisée le 17/02 à la médiathèque de Bar
r : l’objectif initial était de
former des membres de l’équipe à l’heure du conte numérique.
Une très bonne participation de la part des enfants
... et des adultes !
Une bénévole de la médiathèque très enthousiaste à
l’idée de réaliser elle-même ce type d’animation.
Faire participer tout le monde enfants et adultes.
Source :
BDBR Villé
https://mensuel.framapad.org/p/jeuxvideo
Les associations d’éducation au numérique le martèlent : il faut accompagner l’enfant dès ses premiers pas sur Internet, communiquer sur l’usage qu’il en fait, revenir avec lui sur ce qu’il a vu ou retenu. Tout d’abord, il est nécessaire de prévenir votre progéniture que certaines images ne sont pas adaptées à son âge sur Internet. Et que s’il voit quelque chose de choquant il doit vous en parler absolument. Ce n’est pas fliquer son enfant que d’être attentif à ce à quoi il est confronté. Et le web doit être l’occasion d’échanger sur un sujet et pas de se renfermer !
Utilisez Internet, ça s’apprend ! Dès 6 ou 7 ans on peut apprendre à son enfant, de façon ludique, à différencier une info ou un dessin animé d’une publicité ou d’un lien commercial. À partir de 9-10 ans, on lui apprend à développer son esprit critique et à se poser les bonnes questions : Qui a publié cette info ? Qui en est l’auteur ? Quelle est la date de publication ? Vers 12 ans, on les aide à vérifier que plusieurs sources donnent la même information et ainsi
repérer les fausses infos et autre théories complotistes
qui séduisent souvent les ados.
Réfléchissez à l’endroit où est installé l’ordinateur et placez-le dans un endroit visible. Cela permet de garder un oeil sur les réactions de votre enfant et de ne pas le laisser seul face au web.
Pour Médiamétrie, c’est à l’entrée au collège, à onze ans et demi que les préados ont en moyenne leur premier abonnement téléphonique. 22% des enfants de 7-12 ans ont un smartphone et 89% des 12-14 ans. Rien n’empêche que votre enfant ait un téléphone mobile pour téléphoner et envoyer des textos mais les associations de parents conseillent d’attendre 14 ans pour équiper votre enfant d’un smartphone qui lui donne accès à Internet.
Selon la dernière étude Ipsos sur les pratiques numériques des enfants
, les 7-12 ans consacrent environ 6 heures par semaine à Internet tandis que les 13-19 ans y passent plus de 15 heures. Pour fixer des règles, on peut calculer le « temps d’écran » tous supports confondus (ordinateur, console, télé, smartphone...) en se référant à la capacité d’attention de l’enfant avec des « sessions » de 20 minutes entre 3 et 6 ans, 30 minutes entre 6 et 8 ans, 45 minutes pour les 8-10 ans, 60 minutes après 10 ans. On fixe le temps durant lequel il peut surfer avant de démarrer l’activité, et surtout, on s’y tient !
Il existe différents systèmes de contrôle disponibles via les fournisseurs d'accès, directement dans le système d'exploitation de votre ordinateur ou encore via des logiciels anti-virus. Ils permettent que des contenus douteux (spams, phishing) ou inadaptés à l’âge de votre enfant (violences, pornographie) ne surgissent au fil de sa navigation et qu’il ne se fasse pirater ses données. Certains sont particulièrement réputés :
,
,
ou
notamment. Mais attention, télécharger un logiciel ne suffit pas : pour être performant, il faut prendre le temps de les paramétrer en fonction de ce qu’on veut bloquer. On peut par exemple créer un système fermé où l’enfant n’a accès qu’à un moteur de recherche junior et où la session s’arrête automatiquement au bout de 30 minutes. Attention à bien paramétrer chaque appareil et... à faire les mises à jour. Enfin, on reste vigilant : le contrôle parental limite les risques, mais ne les élimine pas complètement !
Créez une session identifiée au nom de votre enfant. Cela permet qu’il ne vienne pas regarder ce que vous faites et écrivez. Mais aussi que vous puissiez vérifier précisément ce qu’il fait. Sans les espionner, jeter de temps à autre un coup d’oeil à son historique peut s’avérer précieux.
Apprenez-lui qu’il n’existe pas que Google et Wikipedia. Choisissez un moteur de recherche adapté aux juniors comme
. À l’occasion d’un exposé, apprenez-lui à chercher des mots-clés les plus précis possible et à utiliser les guillemets pour chercher une expression donnée.
Regarder des vidéos, c’est l’activité principale sur le web de 90 % des 13-19 ans, et sans surprise, Youtube, l’application la plus usitée (par 79% d’entre eux). C’est tout particulièrement sur les plate-formes de vidéos qu’il peut être confronté à des contenus choquants. On installe donc
le filtre parental en activant le «mode restreint»
dans les paramètres Youtube. On lui apprend à éviter les recherches courtes ou qui peuvent prêter à confusion. Et dès qu’il est sur une plate-forme vidéo, on reste présent à ses côtés pour le guider.
Sur Facebook, vous êtes plusieurs à témoigner avoir retrouvé votre enfant en train d’échanger sur Internet au milieu de la nuit. Nous n’avons pas de chiffres sur cette pratique, mais les spécialistes s’accordent à dire qu’elle est courante chez les ados.
Et qu’elle perturbe leur sommeil.
Soit on établi un « contrat » d’extinction du smartphone avec son ado, soit on le garde quand il va se coucher.
C’est la recommandation de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, expliquant que les ordinateurs et smartphones diffusent ce que l’on appelle de la lumière bleue et que cet éclairage trompe l’organisme, car l’horloge biologique la confond avec la lumière du jour et retarde l’endormissement,
à un âge où le sommeil est pourtant essentiel
.
La Pan european game information
(PEGI) vous informe de l’âge (3, 7,12,16 ou 18 ans) à partir duquel votre enfant peut jouer à un jeu vidéo au regard de son contenu. Un deuxième élément est retenu dans la classification : le type de contenu présent dans le jeu (violence, langage grossier, drogue, discrimination, peur, jeux de hasard, sexe )
26% des 9-10 ans et 57% des 11-12 ans sont inscrits sur au moins un réseau social comme Facebook, Instagram ou Snapchat alors que ces réseaux sociaux sont interdits aux moins de 13 ans !
Le jour où il s’inscrit sur un réseau social, expliquez-lui que tout ce qui est publié sur les réseaux sociaux peut devenir public et réapparaître plus tard. Dites-lui qu’Internet enregistre tout et que du coup, pour effacer une image, ce n'est pas toujours facile. De même, avant de publier un commentaire ou une photo, il doit être absolument sûr qu'elle ne portera pas préjudice à quelqu'un, un jour. Suggérez-lui un pseudo, qui limite les risques et les traces pour l’avenir. Veillez aussi à bienconfigurer les paramètres de confidentialité/vie privée et vérifiez-les régulièrement.
Si vous avez du mal à vous déconnecter en présence de votre enfant il risque de ne pas vous prendre au sérieux. Mettez en place des « temps sans écrans » et tenez-vous y ! Jusqu’à sa majorité, vous êtes le garant de l’image numérique de votre enfant : ne diffusez pas son image à tort et à travers sur les réseaux sociaux !
Merci à Olivier Andrieu Girard, responsable pôle médias et usage numérique à l’UNAF, pour ses précieux conseils
Veille et ressources pour des sélections de qualité
ressources
exemple médiathèque de Sant-nazaire
Axer sur les préventions
Amorce de préventions aux réseaux sociaux numérique
le cas de Tik Tok
. Les applications tablettes
. les créations (scratch, stop motion, light painting)
. Impression 3 D
. les jeux vidéo
8 à 11 ans
6 à 8 ans
tablettes
la souris grise
Rennes Métropole
Applithèque Chartres
3 à 6 ans
0 à 3 ans
Des plaintes
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Collectif Cose