by Clément Julia 4 years ago
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réduit la rigidité, l'akinésie, les troubles de la posture et de la marche, les douleurs
stimulation à 130 Hz du noyau sous-thalamique. Permet une diminution de l'akinésie et de la rigidité à long terme
dyskinésies: patient qui est trop traités et qui a trop de mouvements anarchiques et brusques
phase off: ralenti
phase on: tout va bien
on donne de la dopamine (précurseurs) pour qu'elle agisse sur la voie nigro-strié qui est responsable du syndrome parkinsonien mais la dopamine agit également sur d'autres voies et peuvent donc créer des effets secondaires
état confusionnels
quetiapine ou seroquel (neuroleptiques)
troubles cognitifs
hypotension
nausées
psychose
on peut aussi empêcher les enzymes de détruire la dopamine
anticholinergiques centraux
combinaisons: levodopa/carbidopa avec entacopone
inhibiteur d'un destructeur dopa
tremblement cinétique
tremblement d'attitude
tremblement de repos
autres manifestations
troubles de la déglutition
dépression et apathie
les ganglions de la base ont un rôle dans les émotions, ce qui expliquent un dysfonctionnement de ce côté-là
troubles du sommeil
troubles neuropsychologiques --> démence
hyposmie (diminution de l'odorat)
dysautonomie
mictions impérieuses
constipation
hypotension orthostatique
perte de réponse posturale
rigidité
perte de réflexes posturaux
tonus musculaire augmenté
tremblement au repos
les noyaux gris centraux ou ganglions de la base (qui contiennent les neurones au centre du cerveau)
rôle des ganglions de la base
contrôle moteur --> mouvements volontaires des membres, tonus, posture mais aussi rôle dans :
affectifs: émotions et personnalité
système récompense-motivation (système méso-limbique, noyau accubens)
comportement
fonctions cognitives
3 règles
sécurité: est-ce que le traitement est risqué?
tolérance: comment le patient supporte le traitement
efficacité --> si la personne a beaucoup de lésion, on va chercher un ttt plus efficace que l'autre mais si pas beaucoup de lésion, pas un médicament aussi fort
principalement pour les RRMS (première forme)
impacts sur le système immunitaire: risque infectieux et oncologique
traitements immunorégulateurs
médullaire
infratentorielle
corticale
périventtriculaire
l'influx va diminuer et les patients vont avoir les premiers symptômes comme: baisse de la vision, faiblesse d'un membre
le lymphocyte va reconnaître la gaine de myéline comme étant dangereuse et va l'attaquer. La barrière hémato-encéphalique devient plus fine, c'est pour cela que les lymphocytes peuvent attaquer la gaine de myéline
vision floue, nausées, goût métallique dans la bouche, sueurs ou rougeurs au-dessus de la lésion
difficultés respiratoires et modifications de la FC
augmentation de la tension artérielle, céphalées soudaines sévères, spasmes
médicamenteux
chirurgical: fixation/fusion des vertèbres
paraparésie
tétraparésie
lésion dès T2 (atteint les membres inférieurs)
lésions C1 à T1 (atteint les membres supérieurs et inférieurs)
CT-scann et /ou IRM
radiographie
réflexes
Sensibilté
motricité
risque de TVP à cause de l'inactivité
anticoagulation en phase aigue notamment
risque d'hypotension
Si nécessaire: traitement médicamenteux pour traiter la bradycardie et l'hypotension
bas de contention
Schéma de lever
assise progressive au lit
la mobilisation s'effectue assez rapidement mais de manière progressive
paresthésie/anesthésie; dysfonction lubrifiante; dysfontion érectile, éjaculatrice; incontinence; procréation médicalement assistée possible
incontinence urinaire, fécale ou mixte: relâchement des sphincters internes ou externes ou hypertoniques --> nécessité de régulariser le transit
conséquences urinaires --> auto-sondage urinaire
surveillances
hydratation insuffisantes: urines foncées et malodorantes
signes infectieux: urines troubles ou malodorantes
Education au patient sur les techniques
percussion abdominale
auto-sondage
protocole d'abblation de sonde à demeure avec bladder-scan
calendrier mictionnel
bilan de boissons et horaires de sondage
stimulation hydrique
rôle infirmier
attention au risque d'escarre
vêtement, protection --> plis et points de pression parfois pendant des heures
faire attention à la température du bain ou de la douche
si utilisation de barrières de lit --> mettre des coussins de protections
équipements au niveau de la lésion médullaire
paresthésie (sensibilité modifiée: ex: fourmillements), anesthésie (absence de sensibilités)
hypoesthésie (sensibilité diminuée)
paralysie (plus de motricité possible)
parésie (diminution de la motricité)
une région mal perfusée, appelée pénombre qu'il est encore possible de sauver
on peut sauver cette zone par la thrombolyse ou la thrombectomie et le contrôle des paramètres généraux
prise en charge de la pression artérielle
elle doit être traitée si évidence
thrombolyse intraveineuse ou intra-artérielle
dissection aortique
coronaropathie
encéphalopathie hypertensive
insuffisance cardiaque
AVC hémorragique: systolique PA > 140 mmHg et diastolique > 90 mmHg
AVC ischémique: systolique PA> 220 mmHg et diastolique 120 mmHg
restauration d'un rythme cardiaque normal
Fonction pulmonaire --> saturation à 95%
région ischémique qui est déjà infarcie de manière orréversible
Principales indications de la thrombolyse
Le score NIHSS (niveau de conscience, langage, sensibilité, paralysie faciale, ataxie) permet le suivi évolutif d'un AVC ischémique ou hémorragique. il est côté de 0 à 42 points
NIH < 5 mais thrombus proximal ou distal et présence de mismatch
Hemianopsie (perte totale ou partielle de la vision)
Aphasie
NIH>5
la thrombectomie associée ou non à la thrombolyse intraveineuse effectuée dans les premières 6 heures après le début des symptômes améliore le pronostic des patients et évite un pronostic défavorable dans 42% des cas
par voie intraveineuse administrée dans les premières 4h30 après le début des symptômes
elle ne doit pas dépasser 37.5°
qui dit augmentation du métabolisme dit augmentation du métabolisme et de la perfusion donc risque d'AVC
taux de glucose doit être monitoré lors d'un AVC aigu durant les premières 48h voire plus. Le taux de glucose de plus de 8 mmol doit être traité avec l'insuline
Mobilisation du patient
dès les 24h après le début des symptômes
Positionnement à plat de la tête surtout dans les premières 24h à 48h puis position assise à 30°
hémorragique: normalisation rapide de l'HTA
ischémique: thrombolyse/thrombectomie